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Si l’on devait se focaliser sur les individualités, on peut dire que les meilleures que compte notre football, ici et ailleurs, étaient alignées par le Belge Eric Gerets qui a craqué face au système de jeu concocté par le coach algérien Abdelhak Benchikha. Il faut dire que ce dernier avait la chance de pouvoir compter sur des joueurs qui avaient plus de mordant, plus de motivation et qui ont été supérieurs dans tous les duels. La tactique imposée par Gerets à ses poulains a certainement facilité cette situation. L’essentiel s’est fait en milieu du terrain avec un pressing constant parfois agressif sur le porteur du ballon.
Tactique qui a bien réussi au Onze national algérien. Il faut dire aussi que la pression due à l’enjeu et à la présence de milliers de spectateurs chauffés à blanc a fait de l’effet avec une petite poussée du trio arbitral mauricien qui a remplacé le trio sud-africain désigné initialement pour officier la partie. Il est vrai que l’arbitrage de la rencontre a rappelé une ère qu’on croyait révolue mais on ne cessera de le répéter la réaction de Gerets n’as pas eu lieu. Un entraîneur chevronné est celui qui arrive à chambouler toutes ses cartes devant une nouvelle situation créée pendant le match.
Il faut dire enfin que les Algériens ne sont pas la foudre de guerre mais qu’ils ont remporté cette victoire car ils y croyaient et que Benchikha a su piéger le sieur Eric Gerets. Rendez-vous donc en juin pour le match retour pour voir si le Belge a retenu la leçon et s’il réussira à convaincre les Marocains que c’est l’entraîneur qu’il faut pour retrouver les devants de la scène continentale.