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L'Airbus A300 ZERO-G propose depuis 1997 des vols qui simulent l'état d'impesanteur pendant quelques dizaines de secondes, grâce à des trajectoires paraboliques. En octobre 2012, l'écrivain et cinéaste Vincent Ravalec a été convié à participer à l'un de ces vols. En association avec Arte et France Inter, il a réalisé un web-documentaire interactif qui retranscrit son expérience. En mêlant vidéo et ambiances sonores, il y raconte ainsi de façon poétique et ludique les effets de l'absence de gravité.
Mais Vincent Ravaclec n'est pas le seul "privilégié" à avoir vécu une telle expérience. L'Observatoire de l'espace, organisme du CNES (Centre National d'Etudes Spatiales), lance régulièrement des appels à collaboration à différents artistes et écrivains pour participer à l'aventure de la gravité zéro, au milieu des équipes scientifiques. Pour Gérard Hazoulay, responsable de l'Observatoire, "c'est un moyen de décloisonner l'espace, de montrer qu'il n'est pas réservé aux seuls ingénieurs et scientifiques, mais aussi aux artistes et au grand public".
"Depuis 3 ans, le CNES a créé une résidence au sein de l'avion, afin que les artistes puissent se frotter au milieu. A la sortie, ils écrivent des textes dans notre revue, et dans le cas de Vincent Ravalec, un documentaire", ajoute t-il.
Le web-documentaire, coproduction Arte et France Inter, a pour but de retranscrire de façon subjective le parcours intérieur du réalisateur, de la préparation du projet à l'atterrissage. "Une des questions qui m'est venue, en tant qu'artiste, est celle de l'inspiration. Ce procédé mystérieux changeait-il en impesanteur, de la même façon que la physique des objets est modifiée?"
Mais Vincent Ravaclec n'est pas le seul "privilégié" à avoir vécu une telle expérience. L'Observatoire de l'espace, organisme du CNES (Centre National d'Etudes Spatiales), lance régulièrement des appels à collaboration à différents artistes et écrivains pour participer à l'aventure de la gravité zéro, au milieu des équipes scientifiques. Pour Gérard Hazoulay, responsable de l'Observatoire, "c'est un moyen de décloisonner l'espace, de montrer qu'il n'est pas réservé aux seuls ingénieurs et scientifiques, mais aussi aux artistes et au grand public".
"Depuis 3 ans, le CNES a créé une résidence au sein de l'avion, afin que les artistes puissent se frotter au milieu. A la sortie, ils écrivent des textes dans notre revue, et dans le cas de Vincent Ravalec, un documentaire", ajoute t-il.
Le web-documentaire, coproduction Arte et France Inter, a pour but de retranscrire de façon subjective le parcours intérieur du réalisateur, de la préparation du projet à l'atterrissage. "Une des questions qui m'est venue, en tant qu'artiste, est celle de l'inspiration. Ce procédé mystérieux changeait-il en impesanteur, de la même façon que la physique des objets est modifiée?"