Un soutien international grandissant à l’initiative marocaine d’autonomie au Sahara : Une voie de paix qui fait l’unanimité

De Sainte-Lucie à la République centrafricaine, du Gabon à l’Union des Comores, plusieurs pays ont, une nouvelle fois, exprimé devant la Quatrième Commission de l’Assemblée générale des Nations unies leur soutien franc et résolu à l’initiative marocaine d’autonomie, qualifiée de base sérieuse, crédible et réaliste pour un règlement définitif du différend régional autour du Sahara marocain.

Ce concert d’appuis renouvelés illustre une conviction commune : la proposition marocaine, présentée en 2007, demeure la seule voie politique viable, conforme au droit international et aux résolutions du Conseil de sécurité, pour clore un conflit artificiel qui n’a que trop duré.

Un engagement constant en faveur d’une solution politique sous l’égide des Nations unies

À New York, les représentants de Sainte-Lucie, du Libéria et de la Micronésie ont tenu un même discours de clarté : le règlement de la question du Sahara ne peut se concevoir que dans le cadre exclusif des Nations unies, sous la conduite du Secrétaire général et de son Envoyé personnel. Ils ont appelé toutes les parties à s’engager avec réalisme, bonne foi et esprit constructif dans le processus politique en cours.

La représentante de la Micronésie a souligné que l’initiative marocaine, en plus de s’aligner sur les résolutions du Conseil de sécurité, est conforme à l’impératif d’unité nationale et favorise la stabilité régionale, essentielle au Maghreb comme au Sahel.
 
Une vision de développement et de stabilité saluée

Les interventions ont convergé sur un point fondamental : le Maroc ne s’est pas contenté de proposer une solution politique, il a agi.

Les provinces du Sud connaissent une transformation profonde, portée par des investissements massifs dans les infrastructures, l’énergie, l’éducation, la santé et la gouvernance locale. Ces efforts, salués notamment par le Gabon, la Guinée équatoriale, la République centrafricaine et les Comores, traduisent un engagement tangible du Royaume pour le développement inclusif et la dignité de ses citoyens.

La diplomate gabonaise Lia Bouanga a tenu à rappeler que ces investissements démontrent «l’attachement du Maroc au bien-être de ses populations et à une gouvernance de proximité», tandis que la représentante de la Guinée équatoriale a mis en avant «l’autonomisation réelle des populations locales» dans la gestion de leurs affaires.
 
Une dynamique diplomatique irréversible

Au-delà des déclarations, plusieurs pays ont matérialisé leur soutien par l’ouverture de consulats généraux à Laâyoune et Dakhla, à l’image du Gabon, de la République centrafricaine et de l’Union des Comores.

Ces implantations diplomatiques confirment la reconnaissance internationale de la souveraineté du Maroc sur son Sahara et la confiance dans le développement et la stabilité de la région.

L’ambassadeur centrafricain Marius Nzessioué a salué cette dynamique, notant qu’elle atteste de « la confiance croissante de la communauté internationale dans la vision de paix et de progrès portée par le Royaume ».
 
Une solution de compromis conforme aux principes du réalisme et du pragmatisme

L’Union des Comores, par la voix de son représentant Issimail Chanfi, a qualifié l’initiative marocaine de «solution de compromis, acceptable et légitime», respectueuse du droit international et des normes les plus élevées en matière de dévolution du pouvoir local.
Elle garantit aux populations du Sahara marocain la pleine participation à la gestion de leurs affaires, dans le cadre de la souveraineté nationale, tout en favorisant une stabilité durable au Maghreb et au Sahel.

De son côté, le Libéria a salué «l’engagement indéfectible du Maroc» en faveur du développement durable et de l’amélioration des conditions de vie dans les provinces du Sud.
 
Vers une paix fondée sur la responsabilité et la coopération

De la Sainte-Lucie à la Micronésie, de la Guinée équatoriale à la République centrafricaine, les voix se rejoignent : la solution réside dans l’autonomie sous souveraineté marocaine, fondée sur le réalisme, le dialogue et la responsabilité.

Tous ont réaffirmé leur soutien au processus politique onusien et aux efforts du Secrétaire général pour parvenir à une solution politique, durable et mutuellement acceptable.
A travers ces prises de position fermes et convergentes, la communauté internationale confirme, une fois de plus, que l’initiative marocaine d’autonomie n’est pas seulement une proposition diplomatique : elle incarne une vision de paix, de développement et de stabilité régionale — une vision qui rassemble.

M.O