-
Mobilisés, déterminés et solidaires pour réussir le pari du développement et de l’intégrité territoriale
-
La création du parti des forces populaires a toujours été ancrée dans l’histoire de l’armée de libération et du recouvrement de la souveraineté nationale
-
Des ONG dénoncent à Genève de graves violations contre les enfants et les femmes dans les camps de Tindouf
-
M. Bourita s'entretient à Pékin avec son homologue chinois
Le prévenu, âgé de 29 ans, qui a été entendu ce vendredi par le magistrat Santiago Pedraz, de l'Audience nationale, la plus haute juridiction espagnole, est accusé de "collaboration avec une organisation terroriste", ajoute la même source.
Le mis en cause risque une peine de 2 à 5 ans de prison ferme, en vertu de l'article 575 du Code pénal espagnol.
Un communiqué du ministère espagnol de l'Intérieur avait indiqué que cet homme, arrêté par la police espagnole dans une opération menée en collaboration avec la Direction générale de la surveillance du territoire au Maroc (DGST), possédait des "fichiers multimédias à connotation jihadiste" et une partie de son "matériel de propagande et d'endoctrinement était exclusivement destinée à la radicalisation des femmes".
L'opération policière fait suite à celles effectuées en août et décembre 2014 dans les présides occupés de Sebta et Mellilia, à Barcelone, et au Maroc, soldées par l'arrestation de neuf personnes, dont une mineure qui était accompagnée d'une femme et l'interpellation, le 7 juillet, d'une autre femme à Lanzarote, aux îles Canaries, a précisé le communiqué.
Selon des médias locaux, le prévenu, David Mohamed Mohamed, avait été expulsé de l'armée espagnole en 2008 pour trafic et consommation de drogue et falsification de documents. Un total de 49 présumés jihadistes ont été arrêtés par les services de sécurité espagnols depuis le début de l'année, selon des chiffres publiés par le ministère espagnol de l'Intérieur.