Autres articles
-
Trump se déguise en pape sur les réseaux sociaux et s'attire des critiques
-
Le Royaume-Uni forcé de revoir le service du thé à l'exposition universelle d'Osaka
-
Déclin des populations d'oiseaux en Amérique du Nord
-
Louer une poule, nouvelle mode contre la flambée du prix des œufs aux Etats-Unis
-
Avec un gâteau de 121 mètres, la France récupère le record du plus grand fraisier du monde
Selon une étude, les promesses de réduction de gaz à effet de serre aujourd’hui débattues amèneront la planète à un réchauffement de 3,5°C, dépassant ainsi très largement l’objectif de 2°C maximum préconisé par de précédentes études.
Le rapport qui a été présenté à Durban en marge de la conférence onusienne sur le climat provient de chercheurs qui ont effectué une étude pour deux sociétés de conseil spécialisées sur le carbone, Climate Analytics et Ecofys. Selon eux, au rythme où augmentent les émissions des gaz à effet de serre (GES), les gouvernements ne disposent que de quatre ans pour inverser la tendance.
Ils ont aussi quatre ans pour éviter ensuite des dépenses massives pour atteindre l’objectif des 2°C, cible adoptée par la communauté internationale en 2010. «Le monde est sur une trajectoire à haut réchauffement, à haut coûts, et à haut risque», résume les scientifiques. «Les promesses actuelles nous mettent sur une trajectoire d’émissions globales qui portera le réchauffement à 3,5°C», écrivent-ils également.
Pour atteindre cet objectif de 2°C, une majorité des pays ont publié des promesses volontaires de réduction de GES et selon le rapport, ces promesses mèneraient à des émissions globales de 55 milliards de tonnes de ces gaz en 2020. Soit 11 milliards de tonnes au-dessus des 44 milliards qui permettraient de mettre le monde sur une trajectoire de 2°C de réchauffement, rapporte romandie.com. Ces chiffres vont dans le même sens que ceux publiés en novembre par l’Agence internationale de l’énergie et le Programme des Nations unies pour l’environnement.
Le rapport qui a été présenté à Durban en marge de la conférence onusienne sur le climat provient de chercheurs qui ont effectué une étude pour deux sociétés de conseil spécialisées sur le carbone, Climate Analytics et Ecofys. Selon eux, au rythme où augmentent les émissions des gaz à effet de serre (GES), les gouvernements ne disposent que de quatre ans pour inverser la tendance.
Ils ont aussi quatre ans pour éviter ensuite des dépenses massives pour atteindre l’objectif des 2°C, cible adoptée par la communauté internationale en 2010. «Le monde est sur une trajectoire à haut réchauffement, à haut coûts, et à haut risque», résume les scientifiques. «Les promesses actuelles nous mettent sur une trajectoire d’émissions globales qui portera le réchauffement à 3,5°C», écrivent-ils également.
Pour atteindre cet objectif de 2°C, une majorité des pays ont publié des promesses volontaires de réduction de GES et selon le rapport, ces promesses mèneraient à des émissions globales de 55 milliards de tonnes de ces gaz en 2020. Soit 11 milliards de tonnes au-dessus des 44 milliards qui permettraient de mettre le monde sur une trajectoire de 2°C de réchauffement, rapporte romandie.com. Ces chiffres vont dans le même sens que ceux publiés en novembre par l’Agence internationale de l’énergie et le Programme des Nations unies pour l’environnement.