-
Le porte-parole de l'UE a mis un terme aux tentatives d’exploitation en réaffirmant que ni l’Union européenne, ni aucun de ses Etats membres ne reconnaissent la pseudo “rasd”
-
Ces MRE et expatriés qui posent leurs valises au Maroc
-
Dans l'élan des préparatifs du 12ème Congrès de l'USFP : Un débat politique riche en enseignements
-
Chômage, mépris et exil
Cette demande, le diplomate l’aurait formulée sur instruction du chef du gouvernement espagnol auquel des juristes du cru lui ont conseillé de se débarrasser de ce patient encombrant qui, s’il mourait dans sa situation irrégulière en possession de faux documents d’identité, constituerait un grave problème pour l’Espagne.
Mais les généraux algériens qui comptaient abandonner Brahim Ghali en le livrant muni d’une fausse identité aux autorités espagnoles, ne tiennent pas à le rapatrier comme le demande Manuel Sanchez qui ne sait que faire du cadeau empoisonné, et c’est le cas de le dire, de la Mouradia qui compte faire d’une pierre deux coups. Le premier : satisfaire les résidents des camps de Tindouf en les débarrassant d’un chef recherché par toute la justice européenne et de ce fait ne peut plus les représenter.
Le deuxième coup : en balançant cet homme qui a grillé toutes ses cartes, les généraux algériens comptent installer un nouveau valet qui ne serait pas recherché comme Brahim Ghali, même si parmi les dirigeants du Polisario susceptibles d’être éligibles pour lui succéder, aucun ne peut se targuer d’avoir un casier judiciaire tout à fait vierge. Ahmadou El-Katab