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Mais bien au-delà de ce dernier aspect, par exemple dans les sports d’endurance qui sont très voraces en énergie, le besoin s’impose de stocker des glucides qui vont nourrir le muscle. En d’autres termes, ingurgiter des féculents un à trois jours avant une séance, selon sa durée et son intensité. Par contre, la marche, connue pour sa basse intensité, demandera davantage de lipides, dont on peut citer, le poisson, les œufs ou encore les fruits secs et l’huile d’olive, puisque dans ce cas précis, l’organisme carburera à partir de graisses.
S’agissant des sports de force et de ceux appelés HIIT, ou l'entraînement fractionné de haute intensité, il convient de privilégier les fameuses protéines. Elles vont apporter au corps l’énergie dont il aura besoin tout en reconstruisant les fibres musculaires endommagées. Pour une exploitation optimale de ses protéines, il faut en consommer plusieurs fois par jour, par petites portions.
Il va de soi que rien n’est gravé dans le marbre et que chacun peut ajuster son régime alimentaire selon ses envies, tout en suivant le cadre précité. D’autant plus que le cliché qui veut que le sportif soit un acharné de discipline, ultra attentif à ses apports nutritionnels n’est pas tout à fait vrai. Pour preuve, le « cheat meal », en français « le repas de la triche ». Prisé par les pratiquants de sports intenses et de force, et jugé comme réponse à la frustration engendrée par la privation, il offre la latitude de manger une fois par semaine ce que l’on souhaite sans aucune restriction. Une sorte de récompense hebdomadaire, qui à la fois aide à supporter un régime strict, mais également avoir une fonction bénéfique sur l’organisme. Comment ? Tout simplement, ces apports dits « interdits » tout au long de la semaine permettent de choquer le corps et par conséquent le rebooster.
Enfin, la question du bon timing nutritionnel doit aussi être tranchée. La règle suivie impose un repas trois heures avant un entraînement, notamment car la digestion et l’effort physique sont des processus qui pompent énormément d’énergie. Quoique des fois, il s’avère que cette durée peut osciller, en l’occurrence à cause des facultés de digestion disparates d’une personne à l’autre. Donc, selon les spécialistes, le mieux est de choisir ses aliments en fonction de leurs temps de digestion.