Autres articles
-
Signature d' une convention pour la promotion des droits des personnes en situation de handicap
-
Des diplômés chômeurs de Fès suspendent leur grève de la faim après une médiation du CNDH
-
600 infractions à la réglementation sur les produits alimentaires constatées durant Châabane
-
Approvisionnement normal des marchés durant le Ramadan
-
Le CNDH et l'UNHCR s'allient pour renforcer les droits des réfugiés
Que se passe-t-il dans cette cité connue pour être calme, tranquille et sécurisée? Rien de tout cela. Les vols, les agressions, les infractions sont devenus monnaie courante. Au cours de la nuit du 1 au 2 février, plus de 15 voitures ont été saccagées, vitres cassées, portes et coffres défoncés, dans des quartiers à proximité du local de la gendarmerie Royale : Izdihar, Kharbouch et Sid Elabed. Les habitants ne se sentent plus en sécurité. Il n’y a plus de tournées de nuit, et cela s’explique par un manque manifeste de gendarmes bien que la population de Harhoura ait augmenté de plus de 10 fois. L’accueil dans des locaux vétustes de la gendarmerie laisse à désirer. Quelle solution après les déclarations des habitants ? Rien en vue, compte tenu des moyens humains et matériels très limités au niveau de la gendarmerie de Harhoura qui mérite d’être renforcée et bien équipée. Il y va de la sécurité des habitants de cette ville.