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«Cette grève est ainsi un échec dans la mesure où elle n’a pas réussi à perturber l’activité de la compagnie et à prendre en otage le transport aérien national. La grève des pilotes, contrairement au passé, n’est plus un moyen de faire plier la direction pour obtenir satisfaction de toutes les revendications», observe-t-elle dans un communiqué dont nous avons reçu une copie.
Malgré ce nouveau débrayage, le top management de la RAM réaffirme que «les postes de commandant de bord chez Atlas Blue sont ouverts à tous copilotes de Royal Air Maroc volontaires pour intégrer cette filiale. Ils peuvent par ailleurs revenir à Royal Air Maroc dès qu’un poste de commandant de bord se libère, leur séniorité étant garantie».
Une facilité rejetée par les représentants des pilotes qui «exigent que les copilotes de Royal Air Maroc intègrent la compagnie low cost Atlas Blue avec les avantages et le salaire de Royal Air Maroc » laissant ainsi penser que « c’est la vraie revendication que les représentants des pilotes occultent derrière le mot marocanisation en évitant soigneusement d’évoquer la vraie finalité de leur demande».
A ce propos, la direction de la compagnie déplore l’attitude des représentants des pilotes de Royal Air Maroc qui « ne cessent, sans relâche, de déclarer que les copilotes de la compagnie nationale n’ont pas la possibilité d’accéder au poste de commandant de bord chez les filiales du Groupe malgré leur expérience professionnelle», précisant que «ces déclarations constituent des contre-vérités destinées à désinformer sciemment l’opinion publique».
Revenant sur son activité, la compagnie nationale dit assurer tous les vols programmés.