Autres articles
-
Dans les villages du Bangladesh, le retour de la grande peur des serpents
-
Santé cardiovasculaire : Les bienfaits des produits végétaux dépendent de leur niveau de transformation
-
Lien entre les investissements dans les soins de santé pédiatriques et la prospérité
-
Plébiscité par les grandes maisons de luxe, le cuir "Made in Nigeria" se trace un avenir local
-
Une "planète vagabonde" engloutit gaz et poussières à un rythme effréné
Les utilisateurs de Facebook qui s'enthousiasment sur leurs vacances à venir ou exposent l'intérieur de leurs habitations doivent être conscients qu'ils risquent d'attirer l'attention de cambrioleurs potentiels, prévient l'assureur britannique Legal & General.
La compagnie d'assurance a commandé une enquête sur les usages et comportements de 2.092 utilisateurs des médias dits sociaux, dont Facebook ou Twitter sont les plus représentatifs. Il en ressort notamment que 38% de ces internautes publient des informations sur leurs vacances à venir.
"Associé au fait qu'une proportion alarmante d'utilisateurs sont prêts à devenir virtuellement 'amis' avec des gens qu'ils ne connaissent pas vraiment, c'est un risque sérieux pour les biens de ces personnes", note l'assureur.
Dans cette étude intitulée "The Digital Criminal" (les criminels numériques), Legal & General souligne avec quelle facilité un parfait inconnu peut devenir votre "ami" sur Facebook (13% des requêtes envoyées pour les besoins de cette étude ont été validées).
Sur Twitter, le filtre exercé par les micro-blogueurs est encore plus léger: dans 92% des cas, les utilisateurs ont autorisé sans aucune vérification les enquêteurs de l'institut Opinion Matters qu'ils ne connaissaient pas à suivre les messages qu'ils publient en ligne.
Et cette facilité à se lier d'amitié virtuelle n'a aucun effet sur ce que les internautes mettent en ligne.
"Il en résulte qu'un parfait inconnu peut potentiellement être informé des centres d'intérêt, de l'adresse et des projets de déplacements d'une personne", note l'assureur.
Ce genre d'informations sert aux cambrioleurs pour établir des listes de victimes potentielles, explique Michael Fraser, ex-cambrioleur repenti qui participe notamment à une émission de téléréalité en Grande-Bretagne et consultant sur cette étude.
"C'est ce que j'appelle 'l'achat en ligne des cambrioleurs'. Il est incroyablement facile de se servir des réseaux sociaux en ligne pour identifier des gens et lister leurs biens, jusqu'au confort de leur canapé", note-t-il.
La compagnie d'assurance a commandé une enquête sur les usages et comportements de 2.092 utilisateurs des médias dits sociaux, dont Facebook ou Twitter sont les plus représentatifs. Il en ressort notamment que 38% de ces internautes publient des informations sur leurs vacances à venir.
"Associé au fait qu'une proportion alarmante d'utilisateurs sont prêts à devenir virtuellement 'amis' avec des gens qu'ils ne connaissent pas vraiment, c'est un risque sérieux pour les biens de ces personnes", note l'assureur.
Dans cette étude intitulée "The Digital Criminal" (les criminels numériques), Legal & General souligne avec quelle facilité un parfait inconnu peut devenir votre "ami" sur Facebook (13% des requêtes envoyées pour les besoins de cette étude ont été validées).
Sur Twitter, le filtre exercé par les micro-blogueurs est encore plus léger: dans 92% des cas, les utilisateurs ont autorisé sans aucune vérification les enquêteurs de l'institut Opinion Matters qu'ils ne connaissaient pas à suivre les messages qu'ils publient en ligne.
Et cette facilité à se lier d'amitié virtuelle n'a aucun effet sur ce que les internautes mettent en ligne.
"Il en résulte qu'un parfait inconnu peut potentiellement être informé des centres d'intérêt, de l'adresse et des projets de déplacements d'une personne", note l'assureur.
Ce genre d'informations sert aux cambrioleurs pour établir des listes de victimes potentielles, explique Michael Fraser, ex-cambrioleur repenti qui participe notamment à une émission de téléréalité en Grande-Bretagne et consultant sur cette étude.
"C'est ce que j'appelle 'l'achat en ligne des cambrioleurs'. Il est incroyablement facile de se servir des réseaux sociaux en ligne pour identifier des gens et lister leurs biens, jusqu'au confort de leur canapé", note-t-il.








Dans les villages du Bangladesh, le retour de la grande peur des serpents