Autres articles
-
Des experts américains veulent supprimer des vaccins un composant critiqué par les antivax
-
A Nairobi, des femmes DJ veulent occuper le devant de la scène
-
Japon : Un ours force à l'annulation de vols
-
Des orques fabriquent des "outils" pour se masser mutuellement
-
En France, pays du fromage, un éleveur parie sur le lait de chamelle
Bien que de nombreux médicaments et substituts existent pour arrêter ou diminuer sa consommation de tabac, la vraie solution réside dans la volonté. Et le problème, c'est que même avec la meilleure volonté du monde, notre organisme ne fait rien pour nous faciliter la tâche lorsque l'on souhaite arrêter de fumer.
Tout d'abord, une explication du phénomène de dépendance au tabac. Cette drogue (puisque c'est bien de cela qu'il s'agit) a le pouvoir d'apporter une sensation de plaisir et de déstresser le consommateur. Lors d'un arrêt soudain, un état dépressif dû à ce manque de plaisir peut se révéler chez l'ancien fumeur (on pense souvent et injustement que cet état dépressif peut-être lié à la consommation de médicaments d'aide à l'arrêt du tabagisme, ce qui est complètement faux).
La dépendance à la cigarette est rendue très forte par la nicotine. Le cerveau possède des capteurs de nicotine, substance à l'origine des sensations de plaisir et de détente. Le hic : plus l'on consomme de tabac, plus ces capteurs se développent et donc, plus la dose de nicotine à fournir est importante pour en ressentir les effets.
Il existe de nombreuses aides à l'arrêt du tabac : médicaments, patchs, gommes à mâcher... Le fumeur peut également demander l'aide d'un médecin, mais comme le rappelle addict.mag, le facteur le plus important reste la volonté sans laquelle toute tentative d'arrêt est inutile.
Le tabac est à l'origine de nombreux cas de maladies cardiovasculaires et de cancers, notamment du poumon. Plus de 80% des personnes victimes de ce type de cancer ne survivent pas plus de 5 ans.
Tout d'abord, une explication du phénomène de dépendance au tabac. Cette drogue (puisque c'est bien de cela qu'il s'agit) a le pouvoir d'apporter une sensation de plaisir et de déstresser le consommateur. Lors d'un arrêt soudain, un état dépressif dû à ce manque de plaisir peut se révéler chez l'ancien fumeur (on pense souvent et injustement que cet état dépressif peut-être lié à la consommation de médicaments d'aide à l'arrêt du tabagisme, ce qui est complètement faux).
La dépendance à la cigarette est rendue très forte par la nicotine. Le cerveau possède des capteurs de nicotine, substance à l'origine des sensations de plaisir et de détente. Le hic : plus l'on consomme de tabac, plus ces capteurs se développent et donc, plus la dose de nicotine à fournir est importante pour en ressentir les effets.
Il existe de nombreuses aides à l'arrêt du tabac : médicaments, patchs, gommes à mâcher... Le fumeur peut également demander l'aide d'un médecin, mais comme le rappelle addict.mag, le facteur le plus important reste la volonté sans laquelle toute tentative d'arrêt est inutile.
Le tabac est à l'origine de nombreux cas de maladies cardiovasculaires et de cancers, notamment du poumon. Plus de 80% des personnes victimes de ce type de cancer ne survivent pas plus de 5 ans.