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Au-delà de sa petite seconde place dans un petit tournoi à quatre et son prix de fair-play, la sélection olympique marocaine n’a pas convaincu et n’a pas donné l’impression de constituer un groupe homogène, capable de rivaliser avec les grandes équipes du continent. Certes il s’agit d’un tournoi de préparation en attendant les éliminatoires des Jeux olympiques de 2012 à Londres, il n’en demeure pas moins que le Onze national olympique n’a pas affiché lors de ce tournoi UNAF une certaine sérénité, une assurance et une cohésion dans son organisation et entre les différents compartiments de jeu. Et on en est à se demander si notre sélection sera prête pour ces éliminatoires et si elle aura le temps de se préparer par le biais de matchs amicaux qui, forcément, ne devront pas coïncider avec des dates FIFA.
L’entraîneur des Olympiques Pim Verbeeck affiche un optimisme surprenant. «C'est un match de grande valeur qui nous a permis de tirer plusieurs leçons et de voir tous les joueurs sélectionnés, évoluant au niveau local», a-t-il déclaré suite à la défaite devant l’Algérie. Au moment de sa désignation, la FRMF avait donné carte blanche au coach néerlandais qui avait estimé qu’une combinaison entre l’enthousiasme des joueurs locaux et l’expérience et la technique des joueurs évoluant à l’étranger, devrait, à coup sûr, permettre au Maroc de se qualifier aux Jeux olympiques. Or, justement ces joueurs locaux manquent de compétition, car rares ceux qui sont alignés par leurs clubs en championnat. On sera donc acculé à faire appel aux joueurs exerçant à l’étranger, ce qui n’est pas évident puisque les clubs européens ne sont ni prêts ni obligés à les libérer pour qu’ils rejoignent l’équipe nationale non seulement pour des rencontres amicales et lors des concentrations mais aussi au moment des matchs officiels des éliminatoires. Résultat, on est encore en train de se chercher à la veille d’une compétition majeure. Jamais une équipe marocaine olympique n’a bénéficié d’autant de moyens, de temps et d’intérêt. Mais il semble que l’objectif est loin d’être atteint, à savoir mettre sur pied un groupe capable de rivaliser sur le plan continental pour ne s’arrêter qu’à ce niveau.
L’entraîneur des Olympiques Pim Verbeeck affiche un optimisme surprenant. «C'est un match de grande valeur qui nous a permis de tirer plusieurs leçons et de voir tous les joueurs sélectionnés, évoluant au niveau local», a-t-il déclaré suite à la défaite devant l’Algérie. Au moment de sa désignation, la FRMF avait donné carte blanche au coach néerlandais qui avait estimé qu’une combinaison entre l’enthousiasme des joueurs locaux et l’expérience et la technique des joueurs évoluant à l’étranger, devrait, à coup sûr, permettre au Maroc de se qualifier aux Jeux olympiques. Or, justement ces joueurs locaux manquent de compétition, car rares ceux qui sont alignés par leurs clubs en championnat. On sera donc acculé à faire appel aux joueurs exerçant à l’étranger, ce qui n’est pas évident puisque les clubs européens ne sont ni prêts ni obligés à les libérer pour qu’ils rejoignent l’équipe nationale non seulement pour des rencontres amicales et lors des concentrations mais aussi au moment des matchs officiels des éliminatoires. Résultat, on est encore en train de se chercher à la veille d’une compétition majeure. Jamais une équipe marocaine olympique n’a bénéficié d’autant de moyens, de temps et d’intérêt. Mais il semble que l’objectif est loin d’être atteint, à savoir mettre sur pied un groupe capable de rivaliser sur le plan continental pour ne s’arrêter qu’à ce niveau.
Bouqantar et Zahi remportent la course de de Bouskoura
