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Sans état d'âme pour punir Lionel Messi et son Inter Miami dimanche (4-0), le Paris SG se projette désormais vers un choc entre favoris contre le Bayern Munich samedi à Atlanta (17h00) en quarts de finale du Mondial des clubs.
L'écart de niveau entre ce Paris champion d'Europe et Miami était immense. Sous le toit et la climatisation du stade Mercedes-Benz, le PSG a "étouffé dès le début" l'équipe de Messi, dixit l'entraîneur parisien Luis Enrique.
Pressing plus marqué, dribbles plus inspirés et passes plus justes que lors des matches contre Botafogo (défaite 1-0) et contre Seattle (victoire 2-0): les Parisiens ont été appliqués pour annihiler les espoirs de Miami, malgré une majorité de maillots roses parmi les 65.000 spectateurs.
"Quand on joue comme ça, on est inarrétables", a savouré Bradley Barcola, l'un des attaquants à avoir mis en panique la faible défense floridienne.
Le doublé du milieu Joao Neves, élu homme du match après les récompenses de Vitinha (contre l'Atlético Madrid) et d'Achraf Hakimi (contre Seattle, mais il a aussi marqué dimanche), a illustré un épanouissement collectif.
"Tout le monde peut marquer et faire des passes décisives", a salué Ousmane Dembélé.
En gérant la seconde mi-temps, avec les sorties de cadres comme Marquinhos et Fabian Ruiz ou encore l'entrée pour se remettre en jambes d'Ousmane Dembélé, le PSG a prouvé qu'il voyait loin dans cette compétition, malgré une saison interminable à plus de 70 matches.
"On est en train de vivre une saison historique au sein du club, on va essayer de prolonger ça dans la compétition, il va rester huit équipes, on essaie d'aller au bout pour lutter pour le titre", a promis Luis Enrique.
"Ils ne peuvent pas se reposer sur leurs lauriers. Je suis sûr qu'ils marqueront l'histoire, je leur souhaite bonne chance", a clamé, beau joueur, l'entraîneur adverse Javier Mascherano.
Lorsque le sort a placé sur sa route Messi, ancienne mégastar du club (2021-2023), partie en mauvais termes, et des cadres du Barça de Luis Enrique (2015-2017) comme Luis Suarez et Sergio Busquets, la possibilité d'un match saturé d'émotion existait.
Mais le sérieux et la maturité de ce PSG ont éloigné les péripéties. "Il fallait être sérieux. La compétition commence vraiment maintenant", a déclaré Ousmane Dembélé.
La reprise en douceur du meilleur joueur de l'équipe cette saison (33 buts et 15 passes décisives), visiblement en rodage, après sa blessure le 5 juin avec les Bleus, est l'une des satisfactions de ce huitième de finale. "Physiquement je me sens beaucoup mieux, ça m'a fait du bien aussi de couper, de prendre du temps pour revenir, pour que ça cicatrise bien", a raconté l'intéressé.
Comme lui, le groupe va pouvoir profiter de deux jours de repos complet, lundi et mardi, avant une reprise de l'entraînement mercredi.
Le candidat au Ballon d'Or n'a pas caché qu'il a des fourmis dans les jambes, mais il pourra les mettre à profit pour la suite: "Je voulais reprendre un peu plus tôt mais on n'a pas pris de risques, et voilà je reprends pour les bonnes choses".
Car le PSG attend désormais, à Atlanta dans ce même stade climatisé qui lui a fait du bien dimanche, le Bayern Munich. Le club allemand, frustré par son élimination en quarts de finale de C1 contre l'Inter Milan, réalise une compétition prometteuse, si l'on met de côté le faux pas contre Benfica (défaite 1-0). Il a dompté un Flamengo dangereux (4-2) dimanche, notamment grâce à un doublé de Harry Kane.
Ce quart de finale, "ça peut être un bon moment pour prendre notre revanche", a souri Bradley Barcola, qui se remémore: "Quand on les avait joués (en novembre, défaite 1-0 à 11 contre 10, NDLR), on n'était pas dans un très bon moment, et là je pense qu'on peut montrer beaucoup sur ce match".
Le match de samedi opposera deux des principaux favoris à la victoire finale, avec Manchester City et le Real Madrid. "Quand tu as gagné la Ligue des champions, c'est sûr que tu es l'un des favoris de la compétition", a reconnu Dembélé, même s'"il faut rester concentrés".
Le défenseur Willian Pacho a lancé un message à la concurrence: "Nous travaillons pas à pas avec un groupe uni tel une famille", a prévenu le stoppeur équatorien. "Tant que nous restons ensemble, unis, il sera difficile pour nos adversaires de nous vaincre".
L'écart de niveau entre ce Paris champion d'Europe et Miami était immense. Sous le toit et la climatisation du stade Mercedes-Benz, le PSG a "étouffé dès le début" l'équipe de Messi, dixit l'entraîneur parisien Luis Enrique.
Pressing plus marqué, dribbles plus inspirés et passes plus justes que lors des matches contre Botafogo (défaite 1-0) et contre Seattle (victoire 2-0): les Parisiens ont été appliqués pour annihiler les espoirs de Miami, malgré une majorité de maillots roses parmi les 65.000 spectateurs.
"Quand on joue comme ça, on est inarrétables", a savouré Bradley Barcola, l'un des attaquants à avoir mis en panique la faible défense floridienne.
Le doublé du milieu Joao Neves, élu homme du match après les récompenses de Vitinha (contre l'Atlético Madrid) et d'Achraf Hakimi (contre Seattle, mais il a aussi marqué dimanche), a illustré un épanouissement collectif.
"Tout le monde peut marquer et faire des passes décisives", a salué Ousmane Dembélé.
En gérant la seconde mi-temps, avec les sorties de cadres comme Marquinhos et Fabian Ruiz ou encore l'entrée pour se remettre en jambes d'Ousmane Dembélé, le PSG a prouvé qu'il voyait loin dans cette compétition, malgré une saison interminable à plus de 70 matches.
"On est en train de vivre une saison historique au sein du club, on va essayer de prolonger ça dans la compétition, il va rester huit équipes, on essaie d'aller au bout pour lutter pour le titre", a promis Luis Enrique.
"Ils ne peuvent pas se reposer sur leurs lauriers. Je suis sûr qu'ils marqueront l'histoire, je leur souhaite bonne chance", a clamé, beau joueur, l'entraîneur adverse Javier Mascherano.
Lorsque le sort a placé sur sa route Messi, ancienne mégastar du club (2021-2023), partie en mauvais termes, et des cadres du Barça de Luis Enrique (2015-2017) comme Luis Suarez et Sergio Busquets, la possibilité d'un match saturé d'émotion existait.
Mais le sérieux et la maturité de ce PSG ont éloigné les péripéties. "Il fallait être sérieux. La compétition commence vraiment maintenant", a déclaré Ousmane Dembélé.
La reprise en douceur du meilleur joueur de l'équipe cette saison (33 buts et 15 passes décisives), visiblement en rodage, après sa blessure le 5 juin avec les Bleus, est l'une des satisfactions de ce huitième de finale. "Physiquement je me sens beaucoup mieux, ça m'a fait du bien aussi de couper, de prendre du temps pour revenir, pour que ça cicatrise bien", a raconté l'intéressé.
Comme lui, le groupe va pouvoir profiter de deux jours de repos complet, lundi et mardi, avant une reprise de l'entraînement mercredi.
Le candidat au Ballon d'Or n'a pas caché qu'il a des fourmis dans les jambes, mais il pourra les mettre à profit pour la suite: "Je voulais reprendre un peu plus tôt mais on n'a pas pris de risques, et voilà je reprends pour les bonnes choses".
Car le PSG attend désormais, à Atlanta dans ce même stade climatisé qui lui a fait du bien dimanche, le Bayern Munich. Le club allemand, frustré par son élimination en quarts de finale de C1 contre l'Inter Milan, réalise une compétition prometteuse, si l'on met de côté le faux pas contre Benfica (défaite 1-0). Il a dompté un Flamengo dangereux (4-2) dimanche, notamment grâce à un doublé de Harry Kane.
Ce quart de finale, "ça peut être un bon moment pour prendre notre revanche", a souri Bradley Barcola, qui se remémore: "Quand on les avait joués (en novembre, défaite 1-0 à 11 contre 10, NDLR), on n'était pas dans un très bon moment, et là je pense qu'on peut montrer beaucoup sur ce match".
Le match de samedi opposera deux des principaux favoris à la victoire finale, avec Manchester City et le Real Madrid. "Quand tu as gagné la Ligue des champions, c'est sûr que tu es l'un des favoris de la compétition", a reconnu Dembélé, même s'"il faut rester concentrés".
Le défenseur Willian Pacho a lancé un message à la concurrence: "Nous travaillons pas à pas avec un groupe uni tel une famille", a prévenu le stoppeur équatorien. "Tant que nous restons ensemble, unis, il sera difficile pour nos adversaires de nous vaincre".