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Identification
Chakib Akrouh, dont les restes ont été formellement identifiés deux mois après les attentats du 13 novembre, est bien le troisième assaillant des terrasses des cafés de Paris, a-t-on appris vendredi de source judiciaire.
Le parquet de Paris a annoncé jeudi que le kamikaze qui s'était fait exploser le 18 novembre dans un appartement de Saint-Denis lors de l'assaut des forces de l'ordre était un ressortissant belgo-marocain identifié grâce au profil génétique extrait sur ses restes comparés à l'ADN de sa mère.
Il s'agit de Chakib Akrouh, né le 27 août 1990 en Belgique, a précisé le parquet dans un communiqué. Cet homme est bien le troisième assaillant des cafés parisiens qui ont fait 39 victimes et son ADN a été retrouvé sur une des trois kalachnikovs laissées dans une Seat abandonnée à Montreuil (Seine-Saint-Denis).
Rapatriement
Deux enseignants saoudiens en théologie, détenus pendant plus de neuf mois par les rebelles chiites Houhis au Yémen, ont été libérés et ont regagné leur pays, a rapporté vendredi l'agence officielle saoudienne Spa.
Abdel Rahmane al-Charari et Salem al-Ghamdi avaient été arrêtés dans la capitale yéménite Sanaa, où ils étaient en transit pour les Comores, quand les vols avaient été suspendus fin mars au début de la campagne militaire contre les Houthis d'une coalition arabe sous commandement saoudien, a ajouté Spa. Après avoir transité jeudi par Djibouti, les deux Saoudiens sont arrivés dans la nuit à l'aéroport de Ryad en compagnie de l'émissaire de l'ONU pour le Yémen, Ismaïl Ould Cheikh Ahmed, qui a achevé jeudi une mission de cinq jours à Sanaa, selon l'agence.
Le médiateur onusien, qui a rencontré des responsables Houthis et du Congrès populaire général (CPG), le parti de l'ex-président Ali Abdallah Saleh, allié des rebelles, avait annoncé jeudi à Sanaa avoir obtenu la libération de deux détenus "non yéménites" sans préciser leur nationalité.