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Les policiers antiterroristes français ont interpellé mercredi en début de journée en Seine-Saint-Denis, dans la banlieue populaire du nord-est de la capitale deux complices présumés de Sid Ahmed Ghlam, un Algérien arrêté en avril pour un projet d'attentat finalement évité contre une église de la région parisienne, a-t-on appris de sources concordantes. Les deux hommes sont soupçonnés d'avoir apporté une aide logistique à Sid Ahmed Ghlam. Trois autres complices présumés de cet étudiant algérien radicalisé de 23 ans ont déjà été mis en examen (inculpés) dans cette affaire au cours des derniers mois.
Arrêté le 19 avril alors qu'il venait d'appeler des services de secours pour des blessures par balles, Ghlam est soupçonné d'avoir tué par balle une professeure de fitness de 32 ans, Aurélie Châtelain, et d'avoir voulu attaquer une église à Villejuif, banlieue du sud de Paris.
Turquie
Trois responsables de la police d'Ankara ont été limogés quatre jours après le double attentat suicide qui a fait au moins 97 morts dans la capitale turque, a annoncé mercredi le ministère de l'Intérieur turc.
Ces trois hauts fonctionnaires, le directeur général de la police pour la province d'Ankara, son responsable du renseignement et son responsable de la sécurité publique ont été suspendus dans le cadre de "l'enquête ouverte après l'attentat terroriste odieux survenu le 10 octobre devant la gare d'Ankara", a précisé le ministère dans une déclaration citée par les médias turcs.
Mardi soir, le président islamo-conservateur Recep Tayyip Erdogan a reconnu de possibles "fautes" de l'Etat et ordonné une enquête spéciale après cet attentat, le plus meurtrier de l'histoire du pays.