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Le second tour de la présidentielle opposera le 21 décembre le président tunisien sortant Moncef Marzouki au chef du parti anti-islamiste Nidaa Tounès, Béji Caïd Essebsi, a annoncé lundi l'instance chargée d'organiser le scrutin.
Les Tunisiens résidant à l'étranger voteront pour leur part les 19, 20 et 21 décembre, a-t-il ajouté.
La campagne électorale commencera ce mardi et se poursuivra jusqu'au 19 décembre à minuit, a précisé M. Sarsar, en appelant les candidats et les médias "à respecter les principes de la campagne électorale" au vu de "l'importance de ce moment historique".
Caïd Essebsi et Moncef Marzouki ont respectivement obtenu 39,46% et 33,43% des voix à l'issue du premier tour du 23 novembre, selon les résultats définitifs annoncés lundi.
Menace
Le gouvernement canadien a réaffirmé dimanche sa détermination à lutter contre le "fléau terroriste" en Irak, quelques heures après l'appel d'un jihadiste canadien à mener des attaques isolées sur le sol canadien ou à des musulmans à rejoindre les rangs du jihad.
"Le terrorisme constitue une menace réelle et sérieuse pour les Canadiens, et nous devons demeurer vigilants", a déclaré Steven Blaney, ministre de la Sécurité publique.
C'est cette menace qui justifie la participation des forces armées canadiennes "à la coalition qui mène actuellement des frappes aériennes" contre l'organisation Etat islamique (EI), a-t-il ajouté dans un communiqué.











