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Cinq soldats israéliens tués par des "tirs amis" lors de combats dans le nord de Gaza
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En Indonésie, le bilan des inondations s'alourdit à 41 morts
Douze soldats ont été tués et six autres blessés vendredi dans un attentat suicide à la voiture piégée contre un centre de commandement de l’armée yéménite dans la province sudiste d’Abyane, a-t-on appris auprès de sources militaires et de sécurité. L’attaque s’est produite dans le district d’Ahwar et visait la 111e brigade de l’armée yéménite, dont le commandant a été “grièvement” blessé dans l’explosion, ont précisé ces sources.
Le kamikaze a utilisé un véhicule blindé pour conduire son attaque, a précisé une source militaire.
Des hommes armés, soupçonnés d’appartenir à Al-Qaïda, ont en outre attaqué un commissariat et un barrage de sécurité jeudi dans la même province, ont ajouté des sources militaires. Un soldat a été tué et deux autres blessés dans l’attaque contre le barrage. Les attaques visant des officiers de la police et de l’armée ont augmenté ces derniers mois au Yémen, principalement dans les provinces de l’Est et du Sud.
Arabie Saoudite
L’Arabie Saoudite, élue membre du Conseil de sécurité par l’Assemblée générale des Nations unies, refuse de prendre son siège pour protester contre une politique de deux poids deux mesures qui empêche selon elle les Quinze de résoudre les conflits.
Ryad réclame des réformes du fonctionnement de l’instance dirigeante des Nations unies.
Le Conseil de sécurité est divisé sur la guerre civile en Syrie, Moscou et Pékin ayant bloqué à trois reprises des résolutions condamnant la répression du soulèvement contre le président Bachar al Assad. L’Arabie Saoudite soutient les rebelles.
L’Assemblée générale des Nations unies a élu jeudi cinq nouveaux membres au Conseil de sécurité dont l’Arabie Saoudite, le Tchad et le Nigeria, critiqués par plusieurs ONG pour leur bilan en matière de droits de l’Homme, ainsi que le Chili et la Lituanie.