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Iran
Le président iranien Hassan Rohani, qui a prêté serment dimanche, suscite de grands espoirs auprès des Iraniens qui attendent un meilleur niveau de vie, plus de liberté et des avancées dans le dossier du nucléaire qui empoisonne les relations de la République islamique avec l’Occident.
Tout en essayant de satisfaire les demandes de ses alliés réformistes, le chef de l’Etat, un religieux modéré aux manières policées, devra se garder des conservateurs qu’il a vaincus par les urnes en juin mais qui restent majoritaires au Parlement et présents à tous les niveaux du pouvoir.
Samedi, Hassan Rohani a reçu l’onction du Guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei qui, lors d’une cérémonie sur un site religieux de la capitale, l’a embrassé sur la joue avant que le successeur de Mahmoud Ahmadinejad ne dépose à son tour un baiser sur son épaule en guise de soumission.
Zimbabwe
Le président zimbabwéen Robert Mugabe, 89 ans, a été proclamé vainqueur samedi de la présidentielle avec 61% des voix et une majorité des deux tiers à l’Assemblée, broyant tout espoir d’alternance démocratique, après un scrutin contesté par son principal rival Morgan Tsvangirai.
Evoquant «d’importantes irrégularités», Washington a dénoncé ces résultats, estimant qu’ils n’étaient pas «crédibles». L’Union européenne s’est aussi inquiétée samedi des «irrégularités présumées et de la participation incomplète (au scrutin), ainsi que des faiblesses identifiées dans le processus électoral et le manque de transparence».
De son côté, Londres a émis de «sérieux» doutes samedi quant aux résultats des élections.
Mis au ban des nations dans les années 2000 pour ses atteintes aux droits de l’homme, Mugabe est forcé depuis 2009 de partager le pouvoir pour éviter une guerre civile.
Le président iranien Hassan Rohani, qui a prêté serment dimanche, suscite de grands espoirs auprès des Iraniens qui attendent un meilleur niveau de vie, plus de liberté et des avancées dans le dossier du nucléaire qui empoisonne les relations de la République islamique avec l’Occident.
Tout en essayant de satisfaire les demandes de ses alliés réformistes, le chef de l’Etat, un religieux modéré aux manières policées, devra se garder des conservateurs qu’il a vaincus par les urnes en juin mais qui restent majoritaires au Parlement et présents à tous les niveaux du pouvoir.
Samedi, Hassan Rohani a reçu l’onction du Guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei qui, lors d’une cérémonie sur un site religieux de la capitale, l’a embrassé sur la joue avant que le successeur de Mahmoud Ahmadinejad ne dépose à son tour un baiser sur son épaule en guise de soumission.
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Le président zimbabwéen Robert Mugabe, 89 ans, a été proclamé vainqueur samedi de la présidentielle avec 61% des voix et une majorité des deux tiers à l’Assemblée, broyant tout espoir d’alternance démocratique, après un scrutin contesté par son principal rival Morgan Tsvangirai.
Evoquant «d’importantes irrégularités», Washington a dénoncé ces résultats, estimant qu’ils n’étaient pas «crédibles». L’Union européenne s’est aussi inquiétée samedi des «irrégularités présumées et de la participation incomplète (au scrutin), ainsi que des faiblesses identifiées dans le processus électoral et le manque de transparence».
De son côté, Londres a émis de «sérieux» doutes samedi quant aux résultats des élections.
Mis au ban des nations dans les années 2000 pour ses atteintes aux droits de l’homme, Mugabe est forcé depuis 2009 de partager le pouvoir pour éviter une guerre civile.
