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Dans une déclaration à la MAP en marge des 10èmes championnats d'Afrique de natation, organisés actuellement à Casablanca (13-19 septembre), M. Larfaoui , ancien président de la FINA (1988- 2009), a précisé que ces préalables sont la clé pour former des nageurs répondant aux standards internationaux et pouvant concurrencer et défendre les couleurs du continent dans les compétitions internationales.
"Faute de moyens financiers et d'installations adéquates, notamment les piscines olympiques, l'Afrique n'a pu produire que de rares compétiteurs" a déploré Larfaou.
Toutefois, a-t-il observé, le niveau de la natation en Afrique a progressivement évolué "malgré les difficultés que rencontrent nos fédérations dans leurs pays respectifs", se félicitant de la présence lors de ces championnats de nageurs de renommée mondiale venus d'Afrique du Sud, de Tunisie et du Zimbabwe.
Outre les problèmes récurrents qui handicapent la promotion de la discipline en Afrique, les nageurs sont confrontés au dilemme du choix entre se consacrer pleinement à la préparation et à la compétition ou aux études afin d'assurer leur avenir, a-t-il ajouté.
En plus, la natation exige beaucoup de sacrifices aux plans moral et matériel. Elle se pratique dès le jeune âge et requiert énormément d'autodiscipline et de disponibilité, a conclu M. Larfaoui.