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En réponse à une question orale à la Chambre des représentants sur «la non inscription de certaines spécialités du master dans les listes des concours de la fonction publique, malgré leur homologation par le ministère de l'Education nationale, de la Formation professionnelle, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique», il a relevé que ces besoins concernent les attributions du département et son évolution, ainsi que les ressources humaines disponibles, les possibilités de mobilité et les prévisions de la mise à la retraite.
Il est fait appel, dans ce cadre, aux référentiels des emplois et des compétences et aux fiches de fonction qui contiennent les informations y afférentes, y compris les critères et conditions à remplir par les candidats pour prétendre à tout poste, a expliqué le ministre.
L'objectif principal de la définition des spécialités dans les concours de recrutement est de choisir les candidats les plus méritants et compétents et aptes à accomplir les tâches exigées par le poste à pourvoir, sans pour autant écarter des spécialités données, a-t-il souligné.
Le ministère œuvre, en coordination avec le département de l'Enseignement supérieur pour l'élaboration d'une base de données relative aux diplômes nationaux délivrés par les établissements d’enseignement supérieur, selon les domaines de formation et les spécialités, afin de les mettre à la disposition des gestionnaires des ressources humaines des administrations publiques désirant définir avec précision et clarté les spécialités requises pour occuper les postes objets de concours, a-t-il assuré.







