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Un haut responsable de la lutte contre la cybercriminalité aux Etats-Unis a assuré jeudi que les réseaux du Pentagone étaient "mis à l'épreuve" près de six millions de fois par jour et a pointé du doigt la menace que représentent les "sabotages à distance".
Le général Keith Alexander qui dirige le "Cyber command" américain a estimé que les réseaux du ministère de la Défense étaient "mis à l'épreuve par des utilisateurs non autorisés près de 250.000 fois par heure, soit six millions de fois par jour", lors d'une conférence à Washington.
"Les intérêts de notre nation sont menacés", a-t-il dit, en faisant état de "vulnérabilités immenses" et de menaces provenant d'un nombre grandissant d'acteurs étrangers comme les terroristes, les groupes criminels et les pirates informatiques.
"Il y a des soupçons selon lesquels des intrusions prennent pour cible des réseaux pour mener des sabotages à distance", a-t-il dit lors de ses premières déclarations publiques depuis qu'il dirige le "Cyber command".
"Le sabotage et les destructions sont maintenant possibles et doivent être considérés avec gravité", a-t-il ajouté.
Le chef de la police fédérale américaine (FBI) avait mis en garde début mars contre les "cyber-terroristes" et les "cyber-criminels" qui menacent la sécurité des Etats-Unis. Les risques que représente la "cybercriminalité" sont "à nos portes, et bien souvent, déjà à l'intérieur", avait dit Robert Mueller lors d'une conférence à San Francisco (Californie, ouest des Etats-Unis).
Le général Keith Alexander qui dirige le "Cyber command" américain a estimé que les réseaux du ministère de la Défense étaient "mis à l'épreuve par des utilisateurs non autorisés près de 250.000 fois par heure, soit six millions de fois par jour", lors d'une conférence à Washington.
"Les intérêts de notre nation sont menacés", a-t-il dit, en faisant état de "vulnérabilités immenses" et de menaces provenant d'un nombre grandissant d'acteurs étrangers comme les terroristes, les groupes criminels et les pirates informatiques.
"Il y a des soupçons selon lesquels des intrusions prennent pour cible des réseaux pour mener des sabotages à distance", a-t-il dit lors de ses premières déclarations publiques depuis qu'il dirige le "Cyber command".
"Le sabotage et les destructions sont maintenant possibles et doivent être considérés avec gravité", a-t-il ajouté.
Le chef de la police fédérale américaine (FBI) avait mis en garde début mars contre les "cyber-terroristes" et les "cyber-criminels" qui menacent la sécurité des Etats-Unis. Les risques que représente la "cybercriminalité" sont "à nos portes, et bien souvent, déjà à l'intérieur", avait dit Robert Mueller lors d'une conférence à San Francisco (Californie, ouest des Etats-Unis).