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Le président russe Dmitri Medvedev a avoué samedi que le travail des douaniers russes le mettait hors de lui à tel point qu'il était prêt à jeter des objets contre le mur, au cours d'une rencontre avec de jeunes scientifiques et hommes d'affaires.
"Quand on me parle des douanes, j'ai parfois du mal à me retenir. Nom de Dieu, j'ai envie de lancer ce micro contre le mur! Quoi qu'on décide, ils font tout de travers", a déclaré le président, selon des images de la télévision russe.
Il a réagi ainsi à une plainte d'un entrepreneur qui avait parlé des difficultés de promouvoir des innovations en Russie à cause des obstacles à la douane, au cours d'une discussion à Skolkovo, ville dans la banlieue de Moscou présentée comme la future Silicon Valley russe.
"Ils ont des exigences bêtes qui nous font passer pour des idiots: nous recherchons des investissements dans le monde entier, des produits intellectuels, ensuite des gens viennent chez nous et on leur dit +Payez ici, payez là+", a-t-il poursuivi.
Il s'en est par ailleurs pris aux fonctionnaires russes qui, contrairement à leurs collègues étrangers, "manquent d'enthousiasme" même s'ils sont "normaux et ne prennent pas de pots-de-vin".
Dmitri Medvedev, qui aurait pu se présenter pour un second mandat à la présidentielle de mars 2012, a annoncé en septembre s'effacer devant son mentor, le puissant Premier ministre Vladimir Poutine, dont il pourrait devenir le chef du gouvernement.
Il a par ailleurs accepté d'être tête de liste du parti de Poutine Russie unie en vue des législatives du 4 décembre pour lesquelles il mène campagne.
"Quand on me parle des douanes, j'ai parfois du mal à me retenir. Nom de Dieu, j'ai envie de lancer ce micro contre le mur! Quoi qu'on décide, ils font tout de travers", a déclaré le président, selon des images de la télévision russe.
Il a réagi ainsi à une plainte d'un entrepreneur qui avait parlé des difficultés de promouvoir des innovations en Russie à cause des obstacles à la douane, au cours d'une discussion à Skolkovo, ville dans la banlieue de Moscou présentée comme la future Silicon Valley russe.
"Ils ont des exigences bêtes qui nous font passer pour des idiots: nous recherchons des investissements dans le monde entier, des produits intellectuels, ensuite des gens viennent chez nous et on leur dit +Payez ici, payez là+", a-t-il poursuivi.
Il s'en est par ailleurs pris aux fonctionnaires russes qui, contrairement à leurs collègues étrangers, "manquent d'enthousiasme" même s'ils sont "normaux et ne prennent pas de pots-de-vin".
Dmitri Medvedev, qui aurait pu se présenter pour un second mandat à la présidentielle de mars 2012, a annoncé en septembre s'effacer devant son mentor, le puissant Premier ministre Vladimir Poutine, dont il pourrait devenir le chef du gouvernement.
Il a par ailleurs accepté d'être tête de liste du parti de Poutine Russie unie en vue des législatives du 4 décembre pour lesquelles il mène campagne.