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Dans le cénacle très fermé des maîtres Gnaoua, Chérif Regragui constitue une intéressante exception. Alors que ses pairs ont été nourris au lait de «tagnaouite», lui s’y est immergé, corps et âme, par choix obstiné. Une vocation qu’il forgea et ponça au contact assidu des Maâlems Ahmed, Boubker et Hajjoub, qu’il accompagnait aux qraqeb (crotales en métal). A 18 ans, Cherif Regragui est sacré Maâlem à part entière. Curieux de tout, il s’essaya au théâtre avec Tayeb Saddiki. En 1980, il revint aux sources de « tagnaouite », à laquelle il consacre, aujourd’hui, l’essentiel de son temps de loisir.