Autres articles
-
En marchant, les humains bougent plus que tous les animaux sauvages terrestres
-
L'Inde expérimente l'ensemencement des nuages à Delhi pour lutter contre la pollution
-
Face à la Grande Armée de Napoléon, les Russes et des maladies insoupçonnées
-
Dans les villages du Bangladesh, le retour de la grande peur des serpents
-
Santé cardiovasculaire : Les bienfaits des produits végétaux dépendent de leur niveau de transformation
Descendant d’une brillante lignée de maâlems, Abdellah fut fatalement nourri de «tagnaouite». À 12 ans, il accompagnait son père, Boubker, dans les cérémonies nocturnes, où il révélait des dons prodigieux, qu’il affinait au contact de maîtres.
À 16 ans, il est sacré maâlem. Il découvre le reggae, s’en éprend et crée un groupe qui reprend les chansons de Nass El Ghiwane et de Lemchaheb. Sa curiosité pour les musiques aux couleurs humanistes et révolutionnaires ne s’est jamais émoussée, mais c’est à la musique gnaouie qu’il s’est toujours voué corps et âme.
À 16 ans, il est sacré maâlem. Il découvre le reggae, s’en éprend et crée un groupe qui reprend les chansons de Nass El Ghiwane et de Lemchaheb. Sa curiosité pour les musiques aux couleurs humanistes et révolutionnaires ne s’est jamais émoussée, mais c’est à la musique gnaouie qu’il s’est toujours voué corps et âme.








En marchant, les humains bougent plus que tous les animaux sauvages terrestres