Autres articles
-
Waymo mène la conquête des taxis autonomes aux Etats-Unis
-
Au Brésil, 79% des entreprises exposées aux cyberattaques
-
Plus d'enfants morts à cause de lois plus permissives sur les armes aux Etats-Unis
-
Les manchots empereurs menacés "plus vite que prévu" par le réchauffement climatique
-
Une planète géante orbitant autour d'une étoile naine intrigue les astronomes
Descendant d’une brillante lignée de maâlems, Abdellah fut fatalement nourri de «tagnaouite». À 12 ans, il accompagnait son père, Boubker, dans les cérémonies nocturnes, où il révélait des dons prodigieux, qu’il affinait au contact de maîtres.
À 16 ans, il est sacré maâlem. Il découvre le reggae, s’en éprend et crée un groupe qui reprend les chansons de Nass El Ghiwane et de Lemchaheb. Sa curiosité pour les musiques aux couleurs humanistes et révolutionnaires ne s’est jamais émoussée, mais c’est à la musique gnaouie qu’il s’est toujours voué corps et âme.
À 16 ans, il est sacré maâlem. Il découvre le reggae, s’en éprend et crée un groupe qui reprend les chansons de Nass El Ghiwane et de Lemchaheb. Sa curiosité pour les musiques aux couleurs humanistes et révolutionnaires ne s’est jamais émoussée, mais c’est à la musique gnaouie qu’il s’est toujours voué corps et âme.