Autres articles
Depuis sa création, la Ligue du Sud de football n'a eu de cesse de changer de local ou d'y être chassée par la justice. Se comportant en nomade, elle avait, chemin faisant, élu domicile respectivement au quartier Arset Lamaâch, à celui de la Kasbah, au jardin El Harti, au Guéliz, rue Mohamed El Bequal et finalement à l'avenue Moulay Rachid.
Ce statut de SDF constitue un sérieux handicap pour la promotion du football dans la région. Prêchant l'austérité au niveau financier, le président de cette Ligue, Me Alaoui Moudni a su acquérir au bout du compte un local flambant neuf au quartier Semlalia. Le montant de la cession se chiffre à 1 650 000 DH. Aujourd'hui, la Ligue du Sud est dotée d'un siège. Elle est devenue sédentaire. Cette nouvelle situation suscite déjà des convoitises pour le fauteuil de la présidence. D'aucuns se demandent, qui aura la main heureuse pour présider aux destinées du football dans la région, lors de la prochaine assemblée générale. Encore faut-il souligner que cette assemblée initialement prévue pour le 12 novembre 2010, a été reportée suite à un fax de la Fédération Royale marocaine de football (FRMF). Aujourd'hui, beaucoup de prétendants se bousculent au portillon. Les alliances se font et se défont au gré des intérêts des uns et des autres sur fond de copinage ou d'union contre-nature. Chacun bat le rappel de ses troupes pour s'offrir le fauteuil convoité. A commencer par certains politicards en mal de copie. Ces derniers s'affairent à créer des équipes à la carte, clés en main. Des quatre coins de la ville, on assiste à une prolifération d'équipes instrumentalisées à outrance pour servir d'appoint aux prochaines échéances électorales. Dans ce contexte, ces viles manœuvres ne font qu'altérer l'image du football régional. Bien plus, ces personnes ont été derrière la démolition du siège de cette Ligue au Jnane El Harti. A l'appétit glouton, d'autres concurrents entrent en jeu. La commission d'arbitrage et celle des statuts et règlements donnent des ailes aux talons à certains prétendants qui s'accrochent depuis des années à cette Ligue avec la complicité à peine dissimulée du trésorier. Ils ont passé toute leur vie à faire embarrasser, frustrer, mettre à genoux et prendre en otages toutes les équipes de la région. De nos jours, ils veulent se dédouaner et se refaire une virginité. En revanche, le Kawkab de Marrakech, en mal de sérieux profils pour présider aux destinées de la Ligue du Sud, se tient en marge de cette course aux fauteuils et strapontins. D'ailleurs, la commission provisoire du KACM est loin … mais vraiment loin … de faire revivre aux sportifs marrakchis, l'époque de feu Abdelaziz Ben Hlal et du Dr Mustapha Smirès ; présidents influents, lors de leurs exercices à la Ligue du Sud.
De nos jours, les guerres de tranchées continuent. Les querelles de clocher prennent de l'altitude. Les paniers de crabes se multiplient. Et, de cause à effet, la promotion et la vulgarisation de ce sport se trouvent pénalisées.
Ce statut de SDF constitue un sérieux handicap pour la promotion du football dans la région. Prêchant l'austérité au niveau financier, le président de cette Ligue, Me Alaoui Moudni a su acquérir au bout du compte un local flambant neuf au quartier Semlalia. Le montant de la cession se chiffre à 1 650 000 DH. Aujourd'hui, la Ligue du Sud est dotée d'un siège. Elle est devenue sédentaire. Cette nouvelle situation suscite déjà des convoitises pour le fauteuil de la présidence. D'aucuns se demandent, qui aura la main heureuse pour présider aux destinées du football dans la région, lors de la prochaine assemblée générale. Encore faut-il souligner que cette assemblée initialement prévue pour le 12 novembre 2010, a été reportée suite à un fax de la Fédération Royale marocaine de football (FRMF). Aujourd'hui, beaucoup de prétendants se bousculent au portillon. Les alliances se font et se défont au gré des intérêts des uns et des autres sur fond de copinage ou d'union contre-nature. Chacun bat le rappel de ses troupes pour s'offrir le fauteuil convoité. A commencer par certains politicards en mal de copie. Ces derniers s'affairent à créer des équipes à la carte, clés en main. Des quatre coins de la ville, on assiste à une prolifération d'équipes instrumentalisées à outrance pour servir d'appoint aux prochaines échéances électorales. Dans ce contexte, ces viles manœuvres ne font qu'altérer l'image du football régional. Bien plus, ces personnes ont été derrière la démolition du siège de cette Ligue au Jnane El Harti. A l'appétit glouton, d'autres concurrents entrent en jeu. La commission d'arbitrage et celle des statuts et règlements donnent des ailes aux talons à certains prétendants qui s'accrochent depuis des années à cette Ligue avec la complicité à peine dissimulée du trésorier. Ils ont passé toute leur vie à faire embarrasser, frustrer, mettre à genoux et prendre en otages toutes les équipes de la région. De nos jours, ils veulent se dédouaner et se refaire une virginité. En revanche, le Kawkab de Marrakech, en mal de sérieux profils pour présider aux destinées de la Ligue du Sud, se tient en marge de cette course aux fauteuils et strapontins. D'ailleurs, la commission provisoire du KACM est loin … mais vraiment loin … de faire revivre aux sportifs marrakchis, l'époque de feu Abdelaziz Ben Hlal et du Dr Mustapha Smirès ; présidents influents, lors de leurs exercices à la Ligue du Sud.
De nos jours, les guerres de tranchées continuent. Les querelles de clocher prennent de l'altitude. Les paniers de crabes se multiplient. Et, de cause à effet, la promotion et la vulgarisation de ce sport se trouvent pénalisées.
Bouqantar et Zahi remportent la course de de Bouskoura
