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Les performances des joueurs professionnels de baseball aux Etats-Unis sont affectées par les effets du décalage horaire, selon une enquête publiée lundi.
Les effets les plus tangibles, mesurés par un nombre plus élevé d'erreurs de jeu que la normale, ont été plus marqués quand les joueurs avaient un décalage de deux ou trois heures, précise cette enquête, parue dans la dernière édition des Comptes rendus de l'académie américaine des sciences (PNAS).
"Nous avons déterminé que les effets néfastes du décalage horaire sont subtils mais détectables et significatifs", explique Ravi Allada, un chercheur de l'Université Northwestern (Illinois, nord), principal auteur de ces travaux.
Ainsi, les joueurs revenant d'un voyage et encore sous les effets du décalage horaire étaient nettement plus "handicapés" à l'offensive que ceux de l'équipe adverse, souligne cette enquête, qui s'appuie sur l'analyse de plus de 40.000 matches qui se sont déroulés de 1992 à 2011 entre les équipes de la Ligue majeure de baseball (MLB), qui regroupe les deux grands championnats américains.
Côté défense, ces dérèglements de l'horloge biologique se sont traduits, entre autres, par davantage de bases perdues.
"Les effets du décalage sur les joueurs sont suffisamment forts pour effacer les avantages de jouer à domicile", souligne Ravi Allada, directeur du Centre sur le sommeil et la biologie des rythmes circadiens à l'Université Northwestern.
Les effets les plus tangibles, mesurés par un nombre plus élevé d'erreurs de jeu que la normale, ont été plus marqués quand les joueurs avaient un décalage de deux ou trois heures, précise cette enquête, parue dans la dernière édition des Comptes rendus de l'académie américaine des sciences (PNAS).
"Nous avons déterminé que les effets néfastes du décalage horaire sont subtils mais détectables et significatifs", explique Ravi Allada, un chercheur de l'Université Northwestern (Illinois, nord), principal auteur de ces travaux.
Ainsi, les joueurs revenant d'un voyage et encore sous les effets du décalage horaire étaient nettement plus "handicapés" à l'offensive que ceux de l'équipe adverse, souligne cette enquête, qui s'appuie sur l'analyse de plus de 40.000 matches qui se sont déroulés de 1992 à 2011 entre les équipes de la Ligue majeure de baseball (MLB), qui regroupe les deux grands championnats américains.
Côté défense, ces dérèglements de l'horloge biologique se sont traduits, entre autres, par davantage de bases perdues.
"Les effets du décalage sur les joueurs sont suffisamment forts pour effacer les avantages de jouer à domicile", souligne Ravi Allada, directeur du Centre sur le sommeil et la biologie des rythmes circadiens à l'Université Northwestern.