-
AFIS Awards 2025 : La finance marocaine à l'honneur avec M. Jouahri et M. El Kettani distingués
-
Le PDG de la RAM appelle à bâtir un écosystème aérien arabe résilient, responsable et compétitif
-
Le marché du travail reste miné par le sous-emploi et la baisse de l’activité
-
Samira Khamlichi : les lois de parité et la transparence salariale, leviers pour améliorer la représentation féminine
-
Cheick-Oumar Sylla : l’IFC aide les entreprises marocaines à renforcer leur empreinte dans la région
Cette hausse a concerné le volume souscrit des maturités longues qui est passé de 9 à 38,7 MMDH, prédominant les levées à hauteur de 56,6% après 13,9% l'année précédente, précise la DEPF dans sa note de conjoncture d'août.
En revanche, relève la même source, le volume levé en maturités courtes et moyennes a reculé respectivement de 48,4% et 46,4% pour se situer à 4,4 MMDH et 25,3 MMDH pour représenter 6,4% et 37% des levées.
La note fait aussi ressortir que compte tenu de la hausse, en glissement annuel, des remboursements du Trésor de 25,7% à 54,8 MMDH à fin juillet 2019, les levées nettes du Trésor ont atteint 13,6 MMDH, en repli de 35,7% par rapport à la même période un an auparavant, rapporte la MAP.
Par ailleurs, le volume des soumissions a atteint 229,6 MMDH au terme des sept premiers mois de 2019, en hausse de 8,1% par rapport à fin juillet 2018, indique la DEPF, notant que cette évolution incorpore le raffermissement du volume soumissionné des maturités longues (82 MMDH).
En revanche, le volume soumissionné des maturités moyennes et courtes a reculé respectivement de 15,3% et 22,5% pour se situer à 111,3 MMDH et 36,3 MMDH, représentant 48,5% et 15,8% du volume des soumissions.
Pour ce qui est de l'encours des bons du Trésor émis par adjudication, il s'est établi à 559,8 MMDH à fin juillet, enregistrant une hausse de 2,5% par rapport à fin décembre 2018. La structure de cet encours a été marquée par le renforcement de la part des maturités longues, prédominant l’encours à hauteur de 62,1%, alors que la part des maturités moyennes s'est repliée à 35,7%. De même, la part des maturités courtes, qui demeure faible, a reculé à 2,3%.








Le marché du travail reste miné par le sous-emploi et la baisse de l’activité
