Autres articles
-
La mer Méditerranée a enregistré dimanche une température record pour un mois de juin
-
Des experts américains veulent supprimer des vaccins un composant critiqué par les antivax
-
A Nairobi, des femmes DJ veulent occuper le devant de la scène
-
Japon : Un ours force à l'annulation de vols
-
Des orques fabriquent des "outils" pour se masser mutuellement
Selon une étude présentée à l'ATS (American thoracic society) 2010 International Conference, un repas riche en graisses saturées augmenterait les symptômes d'asthme et diminuerait l'efficacité des traitements.
Les chercheurs de l'université de Newcastle ont mené une étude auprès de quarante sujets asthmatiques, dont une partie devait assimiler un repas de 1.000 calories riche en graisses saturées, tandis que l'autre ne prenait qu'un yaourt de 200 calories.
Dans les heures qui ont suivi la prise du repas, les chercheurs ont constaté que les sujets présentaient une forte inflammation des voies respiratoires due à une augmentation des neutrophiles (cellules immunitaires). Leur traitement à base de Ventoline était également moins efficace.
Les acides gras saturés seraient en fait détectés par des récepteurs se situant à la surface de certaines cellules qui libéreraient ensuite des médiateurs inflammatoires, exactement de la même façon que s'il s'agissait d'agents pathogènes.
Entre 1980 et 1994, la prévalence de l'asthme aurait augmenté de 75%, indiquent les auteurs de l'étude. Une hausse qui pourrait notamment être due à certaines modifications dans l'alimentation.
Les chercheurs de l'université de Newcastle ont mené une étude auprès de quarante sujets asthmatiques, dont une partie devait assimiler un repas de 1.000 calories riche en graisses saturées, tandis que l'autre ne prenait qu'un yaourt de 200 calories.
Dans les heures qui ont suivi la prise du repas, les chercheurs ont constaté que les sujets présentaient une forte inflammation des voies respiratoires due à une augmentation des neutrophiles (cellules immunitaires). Leur traitement à base de Ventoline était également moins efficace.
Les acides gras saturés seraient en fait détectés par des récepteurs se situant à la surface de certaines cellules qui libéreraient ensuite des médiateurs inflammatoires, exactement de la même façon que s'il s'agissait d'agents pathogènes.
Entre 1980 et 1994, la prévalence de l'asthme aurait augmenté de 75%, indiquent les auteurs de l'étude. Une hausse qui pourrait notamment être due à certaines modifications dans l'alimentation.