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Les éléphants du Sri Lanka se portent relativement bien malgré la guerre civile qui a fait rage pendant trois décennies, et leur population est en hausse, a révélé vendredi la première étude sur les pachydermes de l'île réalisée depuis la fin du conflit en 2009.
Le Sri Lanka compte 7.379 éléphants, dont 5.879 éléphants sauvages vivant à proximité de parcs naturels et de réserves. L'étude a par ailleurs recensé 1.107 éléphanteaux, un chiffre encourageant pour l'avenir de l'espèce, selon les spécialistes.
"Nos éléphants sont en bonne santé et leur croissance démographique est également satisfaisante", a affirmé le directeur de l'Agence de protection de la vie sauvage, H.D. Ratnayake, au cours d'une conférence de presse.
Avant ce recensement, la population était estimée par l'agence à 5.350 spécimens --à 4.000 par d'autres sources-- alors que le pays en comptait encore 12.000 en 1900.
Cette vaste enquête est la première depuis la victoire en 2009 de l'armée sur les rebelles des Tigres tamouls qui réclamaient depuis 1972 un territoire indépendant. La fin du conflit a notamment permis un meilleur accès aux espaces sauvages du pays.
Les relevés migratoires semblent attester que les éléphants ont massivement fui les régions du nord de l'île, théâtre d'intenses combats entre forces gouvernementales et rebelles, pour se réfugier dans des zones moins exposées.
Quelque 3.500 personnes ont participé à l'étude en se postant pendant quatre jours aux abords de plus de 1.500 points d'eau naturels ou artificiels (retenues d'irrigation) fréquentés par les pachydermes sur l'ensemble du territoire.
Le Sri Lanka compte 7.379 éléphants, dont 5.879 éléphants sauvages vivant à proximité de parcs naturels et de réserves. L'étude a par ailleurs recensé 1.107 éléphanteaux, un chiffre encourageant pour l'avenir de l'espèce, selon les spécialistes.
"Nos éléphants sont en bonne santé et leur croissance démographique est également satisfaisante", a affirmé le directeur de l'Agence de protection de la vie sauvage, H.D. Ratnayake, au cours d'une conférence de presse.
Avant ce recensement, la population était estimée par l'agence à 5.350 spécimens --à 4.000 par d'autres sources-- alors que le pays en comptait encore 12.000 en 1900.
Cette vaste enquête est la première depuis la victoire en 2009 de l'armée sur les rebelles des Tigres tamouls qui réclamaient depuis 1972 un territoire indépendant. La fin du conflit a notamment permis un meilleur accès aux espaces sauvages du pays.
Les relevés migratoires semblent attester que les éléphants ont massivement fui les régions du nord de l'île, théâtre d'intenses combats entre forces gouvernementales et rebelles, pour se réfugier dans des zones moins exposées.
Quelque 3.500 personnes ont participé à l'étude en se postant pendant quatre jours aux abords de plus de 1.500 points d'eau naturels ou artificiels (retenues d'irrigation) fréquentés par les pachydermes sur l'ensemble du territoire.