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«Le problème des salaires ne date pas d’aujourd’hui ; nous en souffrons depuis plus d’une année. Des réunions avec l’administration de l’hôpital ont été tenues afin de pallier les différents dysfonctionnements dont nous payons les frais au quotidien», s’est indigné un agent de sécurité au CHP d’Essaouira.
Suite à la persistance des problèmes sociaux, l’administration du CHP Sidi Mohammed Ben Abdellah a été contrainte de résilier le marché la liant à la société délégataire, tout en confiant provisoirement le service de gardiennage à une autre société par la voie d’un bon de commande.
Malheureusement, et faute de plafond financier des bons de commande, l’effectif des agents a été réduit à 10. Les 16 agents de sécurité, dans une logique de gestion de crise ont été forcés de se partager le maigre salaire de 1700 DH. De ce fait, ils ont décidé de poursuivre la société délégataire en justice pour faire valoir leurs droits.