
-
Le Polisario prépare ses miliciens pour une nouvelle fermeture de Guerguerat avant octobre
-
Le Mouvement pour la paix au Sahara perturbe les calculs des séparatistes
-
Un chauffeur de camion arrêté à Agadir en possession de 589 kg de chira
-
L’OMDH-Casablanca sensibilise des élèves contre les dangers d’Internet
-
L’AESVT organise sa "Semaine verte 2020" dans 25 villes du Royaume
«Le problème des salaires ne date pas d’aujourd’hui ; nous en souffrons depuis plus d’une année. Des réunions avec l’administration de l’hôpital ont été tenues afin de pallier les différents dysfonctionnements dont nous payons les frais au quotidien», s’est indigné un agent de sécurité au CHP d’Essaouira.
Suite à la persistance des problèmes sociaux, l’administration du CHP Sidi Mohammed Ben Abdellah a été contrainte de résilier le marché la liant à la société délégataire, tout en confiant provisoirement le service de gardiennage à une autre société par la voie d’un bon de commande.
Malheureusement, et faute de plafond financier des bons de commande, l’effectif des agents a été réduit à 10. Les 16 agents de sécurité, dans une logique de gestion de crise ont été forcés de se partager le maigre salaire de 1700 DH. De ce fait, ils ont décidé de poursuivre la société délégataire en justice pour faire valoir leurs droits.