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Voici 46 ans que les Beatles ont conquis les ondes mais il sévit encore: Paul McCartney a été récompensé hier à la Maison-Blanche par le Président américain Barack Obama.
«Sir Paul, vous avez écrit parmi les plus belles chansons jamais écoutées par les hommes en ce monde», a expliqué le président démocrate.
Troisième lauréat du prix Gershwin, décerné par la bibliothèque du Congrès à un musicien pour l'ensemble de son oeuvre, Paul McCartney succède aux chanteurs Paul Simon et Steve Wonder, d'ailleurs présent pour assister à l'événement. A cette occasion, il a chanté Ebony And Ivory en duo avec McCartney, ainsi que We Can Work It Out. Mais d'autres people étaient présents, et ont tenu à chanter en hommage au compositeur des Beatles. Voilà comment les Jonas Brothers ont interprété Drive My Car, Corinne Bailey Rae et Herbie Hancock ont chanté Blackbird, Faith Hill a entonné Long And Winding Road.
Paul, lui, a ouvert la soirée avec Got To Get You Into My Life, de l'album Revolver, puis Eleanor Rigby, Let It Be, et enfin Hey Jude. Et le chanteur n'a pas hésité à taquiner Barack Obama en chantant la fameuse «Michelle, ma belle», spécialement pour la First Lady (enchantée), précisant qu'il serait peut-être le premier invité à recevoir un coup de poing du Président.
Et toujours avec le même humour, le chanteur qui a plus de 200 titres à son actif, a expliqué qu'après huit années passées, il était «bon d'avoir un président qui connaît la signification d'une bibliothèque».
Obama, quant à lui, a rendu hommage au compositeur : «Le prix Gershwin est la plus haute récompense de l'Amérique populaire accordée par une nation reconnaissante qu'un jeune Anglais ait partagé son rêve avec nous».
«Sir Paul, vous avez écrit parmi les plus belles chansons jamais écoutées par les hommes en ce monde», a expliqué le président démocrate.
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Paul, lui, a ouvert la soirée avec Got To Get You Into My Life, de l'album Revolver, puis Eleanor Rigby, Let It Be, et enfin Hey Jude. Et le chanteur n'a pas hésité à taquiner Barack Obama en chantant la fameuse «Michelle, ma belle», spécialement pour la First Lady (enchantée), précisant qu'il serait peut-être le premier invité à recevoir un coup de poing du Président.
Et toujours avec le même humour, le chanteur qui a plus de 200 titres à son actif, a expliqué qu'après huit années passées, il était «bon d'avoir un président qui connaît la signification d'une bibliothèque».
Obama, quant à lui, a rendu hommage au compositeur : «Le prix Gershwin est la plus haute récompense de l'Amérique populaire accordée par une nation reconnaissante qu'un jeune Anglais ait partagé son rêve avec nous».