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L'armée syrienne reprend le 22 décembre la moitié d'Alep qui lui échappait depuis juillet 2012, après une offensive dévastatrice d'un mois qui a abouti à l'évacuation de dizaines de milliers de résidents et d'insurgés vers des régions rebelles du nord du pays.
Si l'Occident a dénoncé des "crimes de guerre" et critiqué l'"obstruction de la Russie", alliée de Bachar Al-Assad, la communauté internationale a assisté impuissante au martyre d'Alep.
Le 29 décembre, le président russe Vladimir Poutine annonce un accord de cessez-le-feu entre le régime et l'opposition armée et le lancement des négociations de paix avec la Turquie et l'Iran.
En dépit de ses reculs en Syrie, Irak et Libye, le groupe Etat islamique (EI) a revendiqué ou inspiré de nombreuses attaques dans le monde.












