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Pour tirer ces conclusions, l'équipe de recherche a analysé le niveau de testostérone ainsi que la durée, l'efficacité et la qualité des différentes phases du sommeil chez deux groupes d'hommes. Le premier était constitué d'individus âgés en moyenne de 23 ans, le second de 53 ans.
Il a été établi que dans le second groupe, où le niveau de testostérone était plus bas, le sommeil profond, un stade qui permet la récupération physique et cérébrale, connaissait une baisse de 20%. Des résultats qui ont poussé l'équipe à conclure qu'un taux de testostérone élevé engendrait une meilleure qualité de sommeil.