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Récemment et par le biais d’un communiqué, le ministère a annoncé les résultats de cette opération « sublime » censée trouver les solutions adéquates pour un département qui se débat dans l’insensé depuis des décennies. Selon le communiqué du ministère d’El Ouafa, 29 propositions relatives aux différentes difficultés que connaît le système éducatif de chez nous tels que le sureffectif des classes, le manque d’effectif ou la déperdition scolaire, ont été retenues.
Elles feront l’objet d’un examen de la part d’une commission qui élaborera des fiches techniques pour chaque proposition mais devront être entérinées par le Conseil supérieur de l’éducation et de la formation. Ce qui est sûr, c’est que ce n’est pas de cette manière qu’on va réformer notre enseignement et notre système éducatif en général. Ce qui est certain aussi, c’est que l’école publique est malade. Malade des expérimentations que chaque ministre apporte dans son cartable et que son successeur range dans les tiroirs pour en administrer d’autres à nos enfants et aux enseignants.
A propos, où en est la fameuse réforme annoncée en fanfare? Où en est le Conseil supérieur de l’enseignement dont la création est prévue dans l’article 168 de la Constitution ? Car on nous fait savoir, du côté du ministère, que cette réforme ne peut être entamée que si le Conseil supérieur de l’éducation et de la formation se réunit. En attendant Godot, on chuchote que l’actuel ministre serait partant, si remaniement il y a. Qu’en sera-t-il alors de nos élèves et leurs enseignants ? Wait and see.