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L’équipe de campagne pour la réélection de Barack Obama s’est désolidarisée de l’acteur après une plaisanterie ce lundi sur les “Premières dames” en présence de Michelle Obama. Ce dernier s’est depuis excusé. L’humour grinçant de Robert De Niro n’est visiblement pas du goût de l’équipe de campagne du président américain Barack Obama. Lors d’une réunion électorale ce 19 mars, l’acteur américain a prononcé une courte allocution pour accueillir Michelle Obama, dans un restaurant du quartier branché de Greenwich Village à New York. Enumérant les noms d’épouses de candidats à l’investiture républicaine en vue de la présidentielle du 6 novembre, il s’est permis une plaisanterie d’un goût douteux: “Callista Gingrich. Karen Santorum. Ann Romney. Vous pensez vraiment que notre pays est prêt pour une Première dame blanche”, s’est moqué De Niro, alors que le public éclatait de rire.
Newt Gingrich, ancien président de la Chambre et époux de Callista, a répliqué ce mardi 20 mars en exigeant des excuses. “Ce que De Niro a dit hier soir était impardonnable, et le président devrait présenter des excuses en son nom”, a affirmé Gingrich, cité par CNN, en estimant que cette plaisanterie était de nature à “diviser le pays”.
L’équipe de campagne du président démocrate sortant s’est distanciée des propos de De Niro, sans toutefois formuler d’excuses. “Nous pensons que la plaisanterie n’était pas convenable”, a déclaré Olivia Alair, une porte-parole de cette équipe, sans plus de commentaire.
“Ma plaisanterie, bien que satirique, ne visait à offenser ni à embarrasser personne -et surtout pas la Première dame”, s’est excusé Robert De Niro ce mercredi 21 mars dans un communiqué.
Newt Gingrich, ancien président de la Chambre et époux de Callista, a répliqué ce mardi 20 mars en exigeant des excuses. “Ce que De Niro a dit hier soir était impardonnable, et le président devrait présenter des excuses en son nom”, a affirmé Gingrich, cité par CNN, en estimant que cette plaisanterie était de nature à “diviser le pays”.
L’équipe de campagne du président démocrate sortant s’est distanciée des propos de De Niro, sans toutefois formuler d’excuses. “Nous pensons que la plaisanterie n’était pas convenable”, a déclaré Olivia Alair, une porte-parole de cette équipe, sans plus de commentaire.
“Ma plaisanterie, bien que satirique, ne visait à offenser ni à embarrasser personne -et surtout pas la Première dame”, s’est excusé Robert De Niro ce mercredi 21 mars dans un communiqué.