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Chômage, mépris et exil
Les agressions sexuelles et les viols ont enregistré ces dernières années une hausse jamais égalée. Pratiqués, essentiellement par les hauts dignitaires du Polisario qui s’estiment au-dessus de la loi, ces viols sont désormais dénoncés sitôt subis par les victimes.
Tel est le cas pour cette jeune femme qui a fait les choux gras des médias du nord mauritanien et de certains sites proches du Polisario. Brutalisée après avoir été violée par ses bourreaux, elle n’a pas hésité à mettre en ligne des images où l’on peut constater le degré de violence dont elle a fait les frais : lèvres tuméfiées, jambes et bas ventre en sang, sans parler des traces de coups sur différentes parties de son corps.
Mais l’absence de réaction de ceux qui sont censés assurer leur sécurité semble inquiéter les habitants des camps plus que les actes de viol et de violence eux-mêmes. En effet, malgré la grande médiatisation de ces horreurs, aucun dirigeant du Polisario n’a regretté ces actes ou prononcé un mot de réconfort à l’intention des victimes ou des leurs. Les souffrances des gens et l’insécurité qui sévit dans les camps sont, en effet, le cadet de leurs soucis.