
-
Le Premier secrétaire reçoit une délégation de membres des organisations féminines partisanes
-
L'égalité administrative requiert la vigilance du législateur et l'application des dispositions constitutionnelles
-
Azzeddine Farhane réitère à Vienne l’attachement du Maroc, sous la Conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, aux principes de la coopération Sud-Sud et de la solidarité africaine
-
Le CNDH plaide à Genève pour une participation accrue des jeunes à la promotion des droits humains
Samedi, elle n’a jamais été à la hauteur de l’événement de par ce qu’il a été donné à tout à un chacun ici-bled ou ailleurs de constater ‘’chacha’’ ou TV et présence effective.
Via la première option, c’est un véritable patinoire en guise de pelouse, qui a accueilli la deuxième rencontre des quarts de finale entre le champion d’Asie et celui d’Amérique du Nord. “No comment”. Quant à la rencontre, c’était plus un sport de glisse qu’autre chose. D’ailleurs, certaines images qui ont fait le tour du monde y affèrent comme celles caricaturales et à coups de serpillière ou ce qui lui ressemble, seaux ou plutôt contenants de peinture d’Astral pour ne pas la nommer, qu’il nous a été donné de voir à l’entracte.
Pour la seconde option et pas que celle des coulisses, d’autres parties ou dépendances du stade ont également fait le spectacle mais d’une tout autre nature. C’est ainsi que certains à leur corps défendant, et à un besoin pressant ont pris acte de toilettes et de canalisations débordantes et inondées. Quand aux gradins protégés, on a eu à faire avec des toitures de tribunes hautement perméables et à effets humidifiant et mouillant garantis, et plus spécialement celles de la presse.
Celle des officiels où se trouvait le parterre d’éminences auquel on avait pris le soin de remettre des couvertures de circonstances pour assister au chaud à la mascarade du jour paradoxalement ne gouttait pas. Même la salle où se tenait la conférence de presse d’après match n’y a pas échappé. Les pluies ici-bled, même à dégâts énormes, sont souvent associées au terme bienfaitrices. On en a vérifié samedi en nocturne, l’adage en son vrai sens. Bienfaitrices, effectivement parce qu’elles ont mis à nu les bonnes intentions et bienveillances de nos décideurs quant à le gestion des affaires du pays.
Clair qu’à défaut de travaux à la mesure de l’événement, on a bricolé. Malheureusement, à ce jeu des coulisses, c’est l’image de notre pays qui en prend un coup.
Il est inadmissible que de tels actes restent impunis comme souvent par le passé. Ceux par qui l’inacceptable est arrivé doivent rendre compte. Le gouvernement en premier lieu doit s’expliquer. Il est grandement responsable de cette honte et plus particulièrement le ministère et l’organisme en charge en la circonstance Une enquête en pareil cas se doit d’être diligentée.
Même le choix du Complexe Sportif Moulay Abdellah qui depuis sa construction en 1983 a connu, excepté d’innombrables réfections et notamment celles des gradins et des équipements électriques, par deux fois la rénovation en 2000 et 2014, doit être tiré au clair. En effet on a vu le Grand Stade d’Adrar d’Agadir résister à plus énormes trombes au plus haut fort de la dernière tempête qui a touché le Sud du Royaume.


