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Cette demande aurait contribué positivement de 1,8 point à la croissance du PIB (produit intérieur brut), au lieu d’une contribution négative de 1,7 point enregistrée en 2022, indique l’institution dans ce Budget économique prévisionnel qui présente une révision du budget économique exploratoire publié au mois de juillet 2023.
Dans un contexte marqué par l’amélioration modérée des revenus agricoles et par la poursuite du rythme tendanciel des transferts des Marocains résidant à l’étranger (MRE), la croissance de la consommation des ménages aurait enregistré une augmentation de 0,6% après son repli de 0,7% en 2022, fait savoir la même source.
Cette tendance se dessine dans un contexte de persistance de l’inflation, notamment celle des produits alimentaires qui auraient contribué de près de 80% à l’évolution de l’indice des prix à la consommation (IPC) en 2023, rapporte la MAP.
Ainsi, sur fond d’un accroissement de la consommation de l’administration publique de 3,6%, la consommation finale nationale aurait réalisé une croissance de 1,3%, générant ainsi une contribution positive à la croissance économique de 1,1 point contre 0,3 point l’année précédente.
De son côté, l’investissement brut aurait affiché une croissance de 2,2% au lieu d’un repli de 6,5% en 2022. En dépit de la poursuite des efforts publics en matière d’investissement, l’expansion de l’investissement du secteur privé aurait été limitée dans un contexte de fortes incertitudes, amplifiées par la persistance des pressions inflationnistes et par l’effet du resserrement des conditions de financement.








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