Autres articles
-
Atterrissage d'urgence et 36 heures bloqués dans un marais entourés de caïmans
-
Flèches contre tracteurs : La bataille silencieuse dans l'Amazonie péruvienne
-
Trump se déguise en pape sur les réseaux sociaux et s'attire des critiques
-
Le Royaume-Uni forcé de revoir le service du thé à l'exposition universelle d'Osaka
-
Déclin des populations d'oiseaux en Amérique du Nord
A la conquête de l'espace intersidéral. Le patron de la Nasa, Charles Bolden, a dévoilé mercredi le concept du nouveau lanceur lourd américain destiné à l'exploration spatiale habitée lointaine, qui devrait effectuer son premier vol en 2017, et dont l'objectif ultime est Mars.
«Ce nouveau système de lancement créera des emplois américains bien rémunérés, assurera le maintien du leadership américain dans l'espace et inspirera des millions de personnes à travers le monde», a-t-il déclaré lors d'une présentation dans l'enceinte du Congrès, entouré de plusieurs sénateurs démocrates et républicains.
Ce lanceur, baptisé «Space Launch System», permettra de transporter des astronautes au-delà de l'orbite terrestre basse, dans une capsule appelée «Orion Multi-Purpose Crew Vehicle», dont la forme rappelle celle du programme Apollo de conquête de la Lune.
Les deux premiers étages de la fusée seront propulsés par des moteurs cryogéniques qui utilisent un mélange d'hydrogène et d'oxygène liquide.
La première version du lanceur sera capable de propulser dans l'espace une charge utile allant de 70 à 100 tonnes, avant d'évoluer pour accroître cette capacité jusqu'à 130 tonnes.
Ce système utilisera largement les technologies éprouvées utilisées pour lancer la navette spatiale, souligne l'agence spatiale américaine dans un communiqué.
Le dernier orbiteur, Atlantis, a volé en juillet mettant fin à un programme vieux de trois décennies. La décision de lancer ce projet intervient après de longs mois de réflexion durant lesquels la Nasa a examiné différentes conceptions de lanceurs lourds.
«Ce nouveau système de lancement créera des emplois américains bien rémunérés, assurera le maintien du leadership américain dans l'espace et inspirera des millions de personnes à travers le monde», a-t-il déclaré lors d'une présentation dans l'enceinte du Congrès, entouré de plusieurs sénateurs démocrates et républicains.
Ce lanceur, baptisé «Space Launch System», permettra de transporter des astronautes au-delà de l'orbite terrestre basse, dans une capsule appelée «Orion Multi-Purpose Crew Vehicle», dont la forme rappelle celle du programme Apollo de conquête de la Lune.
Les deux premiers étages de la fusée seront propulsés par des moteurs cryogéniques qui utilisent un mélange d'hydrogène et d'oxygène liquide.
La première version du lanceur sera capable de propulser dans l'espace une charge utile allant de 70 à 100 tonnes, avant d'évoluer pour accroître cette capacité jusqu'à 130 tonnes.
Ce système utilisera largement les technologies éprouvées utilisées pour lancer la navette spatiale, souligne l'agence spatiale américaine dans un communiqué.
Le dernier orbiteur, Atlantis, a volé en juillet mettant fin à un programme vieux de trois décennies. La décision de lancer ce projet intervient après de longs mois de réflexion durant lesquels la Nasa a examiné différentes conceptions de lanceurs lourds.