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Onze pays africains se sont réunis jeudi au Tchad à l'occasion d'un premier sommet sur le projet d'édification de la Grande muraille verte. Celle-ci est censée ralentir l'avancée du désert observée suite au réchauffement climatique.
Cette grande muraille, de plus de 7.100 km de long, traversera onze pays africains : le Burkina Faso, Djibouti, l'Érythrée, l'Éthiopie, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Nigeria, le Sénégal, le Soudan et le Tchad, reliant Dakar à Djibouti.
Il s'agira d'une bande de verdure de 15 km de large qui aura pour but de freiner la progression du désert. Sa mise en place devrait se faire d'ici 3 à 5 ans, certains pays comme le Sénégal étant plus avancés que d'autres.
Un projet aux proportions hors normes, pour lequel aucun budget n'a encore été défini, mais le président du Sénégal Abdoulaye Wade se montre déterminé : "Le désert est un cancer qui progresse, on doit le combattre. C'est pour cela que nous avons décidé ensemble de mener cette bataille titanesque".
Il s'agit d'un projet africain, conçu pour les Africains par les Africains lesquels, rappelons-le, sont les habitants les moins pollueurs de la planète, mais également ceux qui subiront les plus lourdes conséquences du réchauffement climatique.
Cette grande muraille, de plus de 7.100 km de long, traversera onze pays africains : le Burkina Faso, Djibouti, l'Érythrée, l'Éthiopie, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Nigeria, le Sénégal, le Soudan et le Tchad, reliant Dakar à Djibouti.
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