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Nous secrétaires des sections de la Jeunesse Ittihadia, réunis samedi 13 février 2016 au siège central de l’USFP à Rabat, après avoir pris acte des exposés faits par Soufiane Khairat et Mohamed Derouich, membres respectifs du Bureau politique, qui ont présenté la vision du BP à propos notamment de plusieurs dossiers soumis à l’appréciation du parti et à l’opinion publique et après lecture de l’allocution du bureau national et l’examen de l’ensemble des questions organisationnelles et politiques concernant la Chabiba, avons débattu particulièrement de :
-La situation politique actuelle en crise marquée par les tentatives d’ancrer des pratiques makhzéniennes qui visent la mainmise et le contrôle du champ et de l’action politiques dans l’intention de les dévoyer, servant ainsi les intérêts de groupes restreints, et ce au détriment des classes laborieuses et des démunis du peuple marocain.
- La situation sociale au Maroc qui n’a cessé de se dégrader à cause des politiques impopulaires de ce gouvernement intégriste qui s’emploie à appliquer à la lettre les recommandations des institutions financières internationales et tend de plus en plus à créer une grave tension sociale qui s’est traduite par de nombreuses manifestations de protestations de différentes couches sociales.
-La réalité de la jeunesse marocaine qui patauge dans l’abêtissement, la paupérisation, le chômage et l’aliénation afin de la dévoyer de ses véritables intérêts et partant de l’éloigner de la pratique politique dans sa globalité, lui donnant l’impression que la politique n’est qu’un aspect de l’opportunisme et une source principale de la rente.
-La réalité de la Jeunesse ittihadie et les perspectives à ouvrir en vue de pouvoir jouer de nouveau les rôles qui lui incombait à côté de la jeunesse marocaine, surtout après la prolifération de la vague intégriste au sein de la société qui tend à s’emparer de la religion des Marocains à travers le monopole de la pensée religieuse.
A ce propos, nous annonçons à l’opinion publique ce qui suit :
1-La demande de la libération immédiate de Youssef Beldi poursuivi pour un présumé assassinat, alors qu’au cours de la dernière audience de son jugement il s’est avéré qu’il n’a rien à voir avec cette affaire.
2-La poursuite du soutien des enseignants stagiaires dans leur action militante contre la «hogra» et l’obstination du gouvernement marocain.
3- La réussite du modèle démocratique marocain est tributaire de son respect des principes orientant celui-ci, avec en premier lieu le rajeunissement du fait que les jeunes sont considérés comme le fondement de toute volonté réelle pour réaliser le développement.
4-La mise en garde contre la gravité et la confusion qui caractérisent le devenir du pays suite à une politique d’improvisation prônée par le gouvernement au niveau de la gestion d’un ensemble de problèmes sociaux.
5- L’appel lancé à l’ensemble des militantes et militants de la Chabiba à adhérer concrètement à toutes les formes de militantisme et aux mouvements de protestation contre les atteintes aux acquis du peuple marocain, ainsi qu’à la participation effective à la résurgence du Mouvement du 20 février qui a réitéré la revendication des valeurs que nous avons constamment soutenues, et ce en vue de leur concrétisation.
-La situation politique actuelle en crise marquée par les tentatives d’ancrer des pratiques makhzéniennes qui visent la mainmise et le contrôle du champ et de l’action politiques dans l’intention de les dévoyer, servant ainsi les intérêts de groupes restreints, et ce au détriment des classes laborieuses et des démunis du peuple marocain.
- La situation sociale au Maroc qui n’a cessé de se dégrader à cause des politiques impopulaires de ce gouvernement intégriste qui s’emploie à appliquer à la lettre les recommandations des institutions financières internationales et tend de plus en plus à créer une grave tension sociale qui s’est traduite par de nombreuses manifestations de protestations de différentes couches sociales.
-La réalité de la jeunesse marocaine qui patauge dans l’abêtissement, la paupérisation, le chômage et l’aliénation afin de la dévoyer de ses véritables intérêts et partant de l’éloigner de la pratique politique dans sa globalité, lui donnant l’impression que la politique n’est qu’un aspect de l’opportunisme et une source principale de la rente.
-La réalité de la Jeunesse ittihadie et les perspectives à ouvrir en vue de pouvoir jouer de nouveau les rôles qui lui incombait à côté de la jeunesse marocaine, surtout après la prolifération de la vague intégriste au sein de la société qui tend à s’emparer de la religion des Marocains à travers le monopole de la pensée religieuse.
A ce propos, nous annonçons à l’opinion publique ce qui suit :
1-La demande de la libération immédiate de Youssef Beldi poursuivi pour un présumé assassinat, alors qu’au cours de la dernière audience de son jugement il s’est avéré qu’il n’a rien à voir avec cette affaire.
2-La poursuite du soutien des enseignants stagiaires dans leur action militante contre la «hogra» et l’obstination du gouvernement marocain.
3- La réussite du modèle démocratique marocain est tributaire de son respect des principes orientant celui-ci, avec en premier lieu le rajeunissement du fait que les jeunes sont considérés comme le fondement de toute volonté réelle pour réaliser le développement.
4-La mise en garde contre la gravité et la confusion qui caractérisent le devenir du pays suite à une politique d’improvisation prônée par le gouvernement au niveau de la gestion d’un ensemble de problèmes sociaux.
5- L’appel lancé à l’ensemble des militantes et militants de la Chabiba à adhérer concrètement à toutes les formes de militantisme et aux mouvements de protestation contre les atteintes aux acquis du peuple marocain, ainsi qu’à la participation effective à la résurgence du Mouvement du 20 février qui a réitéré la revendication des valeurs que nous avons constamment soutenues, et ce en vue de leur concrétisation.
