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A son arrivée, Aminatou Haidar était accompagnée de deux journalistes espagnols.
"Les deux journalistes ont violé la réglementation en vigueur quand ils ont commencé à filmer l'intérieur de l'aéroport sans autorisation", a poursuivi cette source. Ils ont été interpellés et sur décision du procureur, une cassette a été confisquée. "Ils sont actuellement libres de leur mouvement", a-t-on indiqué de source policière..
Une source proche du gouvernement marocain a pour sa part déclaré que la "réglementation en vigueur (sur les tournages) au Maroc ressemble à celle de l'Espagne, où une entreprise de presse ne peut filmer sans autorisation préalable des autorités".
L'oncle de la séparatiste, qui a assisté à l'interrogatoire de sa nièce, a déclaré que celle-ci a été traitée avec tout le respect requis et qu'elle n'a à aucun moment été maltraitée par les forces de l'ordre malgré les injures et les grossièretés qu'elle n'a cessé de leur adresser. Bichr Haïdar, ex-pacha de la ville de Tarfaya, a souligné que sa nièce a menti en déclarant que son père mort à Laâyoune n'était pas marocain. Il a ajouté que non seulement son père, mais aussi son grand-père étaient bel et bien marocains et qu'ils appartenaient à la famille de la résistance.
Il a précisé que par ses agissements, Aminatou porte préjudice à sa famille et la déshonore. De ce fait, sa famille renie cette renégate. A Laâyoune, tout le monde approuve la déclaration de Bichr Haïdar, d'une part et se réjouit du discours royal dont le message est sans ambages: "L'heure est à la clarté et au devoir assumé. Ou on est patriote ou on est traître. Il n'y a pas de juste milieu entre le patriotisme et la trahison".











