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C’est le procureur du Roi près du tribunal de première instance de Rabat qui en a décidé ainsi après de sempiternels interrogatoires menés par la police judiciaire et où, selon certaines sources d’autres services sécuritaires auraient participé. Le parquet reproche au directeur dudit quotidien, le fait d’avoir publié avec mauvaise intention de fausses informations ainsi que des allégations et de faits mensongers. En termes juridiques notre confrère Anouzla est accusé de délit de publication. Quant à la journaliste Bouchra Edaou, elle sera poursuivie pour contribution aux faits précités.
On se rappelle que suite au communiqué du palais royal sur la mise en convalescence du roi pour cinq jours en raison d’une infection sans inquiétude, Al Jarida Al Oula avait publié à la Une un article qui affirmait que selon certaines sources médicales, qui ont gardé l’anonymat, que l’origine de la maladie du souverain est la prise de corticoïdes contre l’asthme. Le même thème avait mis les directeurs d’Al Ayam et d’Al Machaal sous enquête par le parquet. Par ailleurs, quatre membres de la Fédération marocaine de presse qui se trouvent être des directeurs d’hebdomadaires viennent de démissionner pour dénoncer un communiqué publié dans l’affaire d’Anouzla au nom de cette fédération. Mais il y a des signes qui ne trompent pas !Des signes coureurs d’un changement qui s’opère dans le paysage journalistique et qui doit se faire à travers un véritable dialogue national et non via le clientélisme et les déclarations ou les prises de positions agressives entre les confrères.







