-
Usages licites du cannabis. 2.905 autorisations délivrées jusqu’au 23 avril courant
-
Interpellation d'un individu pour atteinte aux systèmes de traitement automatisé des données numériques
-
Un grand pas vers la protection collective
-
Baisser de rideau sur le Forum de l’étudiant à Casablanca
-
Les Ombudsmans et les Médiateurs, des instances centrales garantissant aux enfants la jouissance de tous les droits fondamentaux
En marge de cette assemblée qui marque la réactivation de la FEP, Chakib ALJ, président de la CGEM, s’est félicité des efforts des différents acteurs du secteur de l’enseignement privé au Maroc en vue de redynamiser cette fédération créée dans les années 90.
“En soutenant le secteur de l'éducation, nous soutenons le modèle de développement souhaité pour notre pays”, a-t-il souligné. Le président de la CGEM a ajouté que “la mise en oeuvre de la loi-cadre 51.17 inhérente à l’enseignement, bras opérationnel de cette réflexion, nécessite l’association de tous les acteurs de l’enseignement”. Il a également appelé à une forte implication des acteurs de ce secteur qui fait face, aujourd’hui, à de véritables défis dus à la pandémie, notamment la gestion de la rentrée.
Pour sa part, Saaïd Amzazi, ministre de l’Education nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a salué la réactivation de la Fédération de l’enseignement privé. “La CGEM montre qu’elle comprend l’enjeu important de ce secteur en relançant cette Fédération avec qui le ministère a beaucoup de chantiers à mettre en oeuvre”, a-t-il déclaré.
A noter que la Fédération de l’enseignement privé compte aujourd’hui 333 membres issus de l’enseignement général privé (fondamental, collégial et secondaire), de l'enseignement professionnel privé ainsi que de l’enseignement supérieur p