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Une vingtaine d’arrestations, trois marchands ambulants victimes de fractures, 10 autres blessés, cinq extensions de cafés détruites. Tel est le bilan de l’opération de démantèlement des marchés informels et de libération de l’espace public à Sidi El Bernoussi.
Jeudi, tôt le matin, différents engins de travaux publics et camions et des techniciens de surface de Tecmed, ont été mobilisés pour déblayer le marché informel à proximité de la mosquée «Tarik». La première journée de l’opération de démantèlement des marchés informels, a enregistré la destruction de pas moins de 300 supports et étals à travers les annexes administratives 52 et 56 de Sidi El Bernoussi.
Une opération qui ne s’est pas déroulée sans incidents. En effet, du côté des marchands ambulants, on dénonce très fort la répression «injustifiée», dont ils ont été victimes. «On nous a maltraités. C’est du jamais vu, les forces de l’ordre ont été accompagnées de «baltagias» avec des bâtons en bois et en acier», s’est insurgé l’un d’entre eux.
Du côté des autorités, on ne voit pas les choses de la même manière. «Cette opération vise l’intérêt des citoyens du quartier en premier lieu et à mettre fin à l’anarchie», assure une source officielle sous le sceau de l’anonymat. Et d’ajouter: «Nous avons la ferme volonté de libérer le domaine public squatté par les marchés clandestins et les terrasses illicites des cafés».
Selon des sources bien informées, «cette opération entre dans le cadre d’une campagne à laquelle participent toutes les annexes administratives de la préfecture de Sidi El Bernoussi à Casablanca en coordination avec les services sécuritaires, les forces auxiliaires et les agents de l’Entraide nationale». Cette même source nous a précisé que la destruction des extensions illicites des cafés vise à démolir les parties construites en dur et d’inciter les cafetiers à les remplacer par des stores, des rideaux ou d’autres constructions provisoires conformément à la législation en vigueur.
Les autorités ont aussi fait appel à la société délégataire des services de nettoiement et de collecte des déchets ménagers «Tecmed» pour nettoyer les lieux au fur et à mesure du déroulement de l’opération. Elles ont également avisé la Lydec pour venir dresser un constat des anomalies enregistrées au niveau de ce marché informel, notamment les branchements illégaux, et procéder, par la suite, à la rédaction de procès-verbaux. A signaler, dans ce sens, que les marchands qui campaient dans la rue 39 se connectaient aux branchements électriques des maisons mitoyennes en contrepartie d’une contribution aux frais de raccordement.
Cette opération se poursuivra jusqu'à l'éradication totale des marchés informels et des occupations illégales de l’espace public, nous a déclaré un responsable de la préfecture de Sidi El Bernoussi. Elle se poursuivra également à travers le territoire national, selon la même source.
Jeudi, tôt le matin, différents engins de travaux publics et camions et des techniciens de surface de Tecmed, ont été mobilisés pour déblayer le marché informel à proximité de la mosquée «Tarik». La première journée de l’opération de démantèlement des marchés informels, a enregistré la destruction de pas moins de 300 supports et étals à travers les annexes administratives 52 et 56 de Sidi El Bernoussi.
Une opération qui ne s’est pas déroulée sans incidents. En effet, du côté des marchands ambulants, on dénonce très fort la répression «injustifiée», dont ils ont été victimes. «On nous a maltraités. C’est du jamais vu, les forces de l’ordre ont été accompagnées de «baltagias» avec des bâtons en bois et en acier», s’est insurgé l’un d’entre eux.
Du côté des autorités, on ne voit pas les choses de la même manière. «Cette opération vise l’intérêt des citoyens du quartier en premier lieu et à mettre fin à l’anarchie», assure une source officielle sous le sceau de l’anonymat. Et d’ajouter: «Nous avons la ferme volonté de libérer le domaine public squatté par les marchés clandestins et les terrasses illicites des cafés».
Selon des sources bien informées, «cette opération entre dans le cadre d’une campagne à laquelle participent toutes les annexes administratives de la préfecture de Sidi El Bernoussi à Casablanca en coordination avec les services sécuritaires, les forces auxiliaires et les agents de l’Entraide nationale». Cette même source nous a précisé que la destruction des extensions illicites des cafés vise à démolir les parties construites en dur et d’inciter les cafetiers à les remplacer par des stores, des rideaux ou d’autres constructions provisoires conformément à la législation en vigueur.
Les autorités ont aussi fait appel à la société délégataire des services de nettoiement et de collecte des déchets ménagers «Tecmed» pour nettoyer les lieux au fur et à mesure du déroulement de l’opération. Elles ont également avisé la Lydec pour venir dresser un constat des anomalies enregistrées au niveau de ce marché informel, notamment les branchements illégaux, et procéder, par la suite, à la rédaction de procès-verbaux. A signaler, dans ce sens, que les marchands qui campaient dans la rue 39 se connectaient aux branchements électriques des maisons mitoyennes en contrepartie d’une contribution aux frais de raccordement.
Cette opération se poursuivra jusqu'à l'éradication totale des marchés informels et des occupations illégales de l’espace public, nous a déclaré un responsable de la préfecture de Sidi El Bernoussi. Elle se poursuivra également à travers le territoire national, selon la même source.
