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Record
Une Américaine a recueilli plus d’un million de commentaires sur son statut Facebook, révèle Fox 40. Incroyable, diriez-vous, sauf que cet assaut de messages ne résulte pas d’une démonstration d’amitié de la part de ses contacts... En effet, à la recherche de la gloire, c’est elle-même qui a orchestré tout le phénomène.
Cathy Matthews s’est mise en tête de rentrer dans le Guinness Book. Elle a alors imaginé un record surprenant à sa portée : recueillir plus d’un million de commentaires sur l’un de ses statuts Facebook. Pour parvenir à ses fins, la femme a créé un collectif de 106 personnes qui ont écrit avec elle 9358 posts chacun. En tout, c’est 1.001.291 commentaires qui ont été recensés depuis le 30 octobre dernier. Le record précédent s’était élevé à 500.000 commentaires.
On se doute que la qualité de la rédaction des messages virtuels laisse à désirer, mais là n’était pas l’important pour l’initiatrice de ce projet en quête de reconnaissance. Fan du jeu Frontierville, elle passait ses journées sur le réseau social quand elle a eu cette idée qu’elle juge brillante... La rédaction du livre des records du monde n’a pas encore révélé si elle acceptera cet “exploit” comme une prouesse humaine digne d’être répertoriée dans le célèbre ouvrage.
Mariage
Une habitante de Seattle a ainsi décidé de dire Oui... à un vieil entrepôt âgé de 107 ans et menacé de démolition selon The Daily Mail.
Non, cette femme du nom de Babylonia Aivaz n’a pas perdu la tête et n’envisage pas une lune de miel torride avec ce tas de briques. Ses épousailles sont avant tout un geste militant destiné à la lutte contre la destruction de ce bâtiment. Citée par la même source, elle considère que “si les entreprises ont les mêmes droits que les humains, alors cela s’applique aussi aux bâtiments.” Un raisonnement juridique imparable mais qui ne semble pas porter ses fruits. Une dizaine de grues s’activent toujours pour réduire la bâtisse à néant. Babylonia Aivaz risque donc de se retrouver veuve avant même que le mariage soit “consommé”.
Cela n’empêche tout de même pas cette dernière d’avoir le sens de l’humour et de vivre à fond la cérémonie nuptiale.
Une Américaine a recueilli plus d’un million de commentaires sur son statut Facebook, révèle Fox 40. Incroyable, diriez-vous, sauf que cet assaut de messages ne résulte pas d’une démonstration d’amitié de la part de ses contacts... En effet, à la recherche de la gloire, c’est elle-même qui a orchestré tout le phénomène.
Cathy Matthews s’est mise en tête de rentrer dans le Guinness Book. Elle a alors imaginé un record surprenant à sa portée : recueillir plus d’un million de commentaires sur l’un de ses statuts Facebook. Pour parvenir à ses fins, la femme a créé un collectif de 106 personnes qui ont écrit avec elle 9358 posts chacun. En tout, c’est 1.001.291 commentaires qui ont été recensés depuis le 30 octobre dernier. Le record précédent s’était élevé à 500.000 commentaires.
On se doute que la qualité de la rédaction des messages virtuels laisse à désirer, mais là n’était pas l’important pour l’initiatrice de ce projet en quête de reconnaissance. Fan du jeu Frontierville, elle passait ses journées sur le réseau social quand elle a eu cette idée qu’elle juge brillante... La rédaction du livre des records du monde n’a pas encore révélé si elle acceptera cet “exploit” comme une prouesse humaine digne d’être répertoriée dans le célèbre ouvrage.
Mariage
Une habitante de Seattle a ainsi décidé de dire Oui... à un vieil entrepôt âgé de 107 ans et menacé de démolition selon The Daily Mail.
Non, cette femme du nom de Babylonia Aivaz n’a pas perdu la tête et n’envisage pas une lune de miel torride avec ce tas de briques. Ses épousailles sont avant tout un geste militant destiné à la lutte contre la destruction de ce bâtiment. Citée par la même source, elle considère que “si les entreprises ont les mêmes droits que les humains, alors cela s’applique aussi aux bâtiments.” Un raisonnement juridique imparable mais qui ne semble pas porter ses fruits. Une dizaine de grues s’activent toujours pour réduire la bâtisse à néant. Babylonia Aivaz risque donc de se retrouver veuve avant même que le mariage soit “consommé”.
Cela n’empêche tout de même pas cette dernière d’avoir le sens de l’humour et de vivre à fond la cérémonie nuptiale.