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Un Américain a décidé d'abandonner la société de consommation pour retrouver les valeurs naturelles.
De plus en plus de sans-abris sont forcés de dormir dehors. Mais Daniel Suelo ne s'inquiète pas de la crise économique. Contrairement à l'Américain moyen, il n'est pas criblé de dettes, n'accumule pas les cartes de crédit, et ne se cramponne pas à un prêt hypothécaire.
C'est après un séjour dans le désert sauvage canadien, qu'il a eu la révélation de sa vie. En 2000, cet excentrique a décidé d'abandonner son mode de vie matérialiste, et a abandonné ses dernier 30 $ dans une cabine téléphonique et a déménagé pour Moab, en plein milieu du désert de l'Utah.
Le cinquantenaire a aussi jeté à la poubelle son passeport, son permis de conduire, et changé de nom. Shellabarger, l'homme du commun, est mort, dorénavant, il faudra l'appeler "Suelo", c'est-à-dire terre, sol, en espagnol. Depuis, Suelo n'est jamais rentré. Il a campé dans des grottes, bivouaqué dans le désert, et, parfois, dormi chez des étrangers, qui l'avaient pris en auto-stop.
Pourtant, il n'a rien à envier à son ancienne vie. Sa grotte est un vrai palace : 60 mètres de large et 15 mètres de haut, juchée sur le bord d'une falaise, avec une vue imprenable sur le parc national des arches, dans l'Utah. Il a sculpté son lit dans la roche et chasse sa nourriture.
L'histoire de cet homme sauvage est racontée dans une biographie : "The Man Who Quit Money", "L'homme qui a abandonné l'argent", écrite par son proche ami, Mark Sundeen, qui lui-même a vécu dans un pick-up.
Sur son blog, Suelo explique sa philosophie : " Je n'utilise pas et n'accepte pas d'argent ou de troc conscient – je n'accepte pas l’aumône du gouvernement. Ma philosophie est d'utiliser uniquement ce qui est donné gratuitement". "Notre société toute entière est conçue de telle sorte que vous devez avoir de l'argent [...]Vous devez faire partie du système capitaliste. Il est illégal de vivre en dehors de celui-ci", remarque Suelo.
De plus en plus de sans-abris sont forcés de dormir dehors. Mais Daniel Suelo ne s'inquiète pas de la crise économique. Contrairement à l'Américain moyen, il n'est pas criblé de dettes, n'accumule pas les cartes de crédit, et ne se cramponne pas à un prêt hypothécaire.
C'est après un séjour dans le désert sauvage canadien, qu'il a eu la révélation de sa vie. En 2000, cet excentrique a décidé d'abandonner son mode de vie matérialiste, et a abandonné ses dernier 30 $ dans une cabine téléphonique et a déménagé pour Moab, en plein milieu du désert de l'Utah.
Le cinquantenaire a aussi jeté à la poubelle son passeport, son permis de conduire, et changé de nom. Shellabarger, l'homme du commun, est mort, dorénavant, il faudra l'appeler "Suelo", c'est-à-dire terre, sol, en espagnol. Depuis, Suelo n'est jamais rentré. Il a campé dans des grottes, bivouaqué dans le désert, et, parfois, dormi chez des étrangers, qui l'avaient pris en auto-stop.
Pourtant, il n'a rien à envier à son ancienne vie. Sa grotte est un vrai palace : 60 mètres de large et 15 mètres de haut, juchée sur le bord d'une falaise, avec une vue imprenable sur le parc national des arches, dans l'Utah. Il a sculpté son lit dans la roche et chasse sa nourriture.
L'histoire de cet homme sauvage est racontée dans une biographie : "The Man Who Quit Money", "L'homme qui a abandonné l'argent", écrite par son proche ami, Mark Sundeen, qui lui-même a vécu dans un pick-up.
Sur son blog, Suelo explique sa philosophie : " Je n'utilise pas et n'accepte pas d'argent ou de troc conscient – je n'accepte pas l’aumône du gouvernement. Ma philosophie est d'utiliser uniquement ce qui est donné gratuitement". "Notre société toute entière est conçue de telle sorte que vous devez avoir de l'argent [...]Vous devez faire partie du système capitaliste. Il est illégal de vivre en dehors de celui-ci", remarque Suelo.