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Le commissaire en personne intervint du côté où s’asseyait la dame. Il l’empoigna, la tirant vers l’extérieur. Il justifiera son vilain geste par le fait qu’il avait peur que la «dame ne fuie le lieu du crime»! Blessé et offusqué, le jeune époux tenta un sursaut de dignité, … ce qui lui valut une punition. «Outrage à un fonctionnaire en exercice», «conduite en état d’ébriété», (bien que la voiture ait été déjà garée devant leur immeuble)… Les membres de la famille du couple, sortis à la hâte, voulaient bien expliquer qu’il s’agissait certainement d’un malentendu, et que le couple était marié…
Les policiers sont convaincus que leur « chef» a été touché dans son amour propre. Il a bien le droit d’agir ainsi. Le jeune époux n’a pas le droit de l’interpeller sur son comportement. Le reste de l’histoire est, bien évidemment, connu. Le jeune homme passa la nuit au commissariat. Il déclara y avoir laissé 1700 DH alors que l’Etat en a perçu 1150 dh.











