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Un peu plus de deux ans après l’ouverture de Dar El Oumouma, comment évaluez-vous l’apport de votre établissement ?
Mohamed Bouhda : Notre rôle est devenu incontournable pour l’assistance des femmes qui accouchent ou qui s’apprêtent à le faire. Avec notre ambulance, nous avons la possibilité de secourir les femmes et nous veillons à ce qu’elles accouchent dans des conditions normales. Pour l’instant, nous estimons avoir mené à bien notre mission.
Quel est le budget de votre établissement ?
L’établissement dispose d’un montant d’environ 200 000 DH. Un budget moyen, il faut le dire, étant donné toutes les responsabilités qui nous incombent. Il va sans dire que les services offerts par Dar El Oumouma sont gratuits. Certes, nous imposons une cotisation pour l’usage de l’ambulance (250 DH), mais cela reste insuffisant, car ce montant couvre uniquement les charges du véhicule. A ce propos, je tiens à remercier les autorités locales qui nous ont aidés dans notre tâche.
Outre l’accueil des bénéficiaires, menez-vous des activités parallèles?
Bien évidemment, notre rôle ne se limite pas seulement à accueillir les bénéficiaires, nous procédons aussi à des campagnes de sensibilisation relative à la santé reproductive.
Mohamed Bouhda : Notre rôle est devenu incontournable pour l’assistance des femmes qui accouchent ou qui s’apprêtent à le faire. Avec notre ambulance, nous avons la possibilité de secourir les femmes et nous veillons à ce qu’elles accouchent dans des conditions normales. Pour l’instant, nous estimons avoir mené à bien notre mission.
Quel est le budget de votre établissement ?
L’établissement dispose d’un montant d’environ 200 000 DH. Un budget moyen, il faut le dire, étant donné toutes les responsabilités qui nous incombent. Il va sans dire que les services offerts par Dar El Oumouma sont gratuits. Certes, nous imposons une cotisation pour l’usage de l’ambulance (250 DH), mais cela reste insuffisant, car ce montant couvre uniquement les charges du véhicule. A ce propos, je tiens à remercier les autorités locales qui nous ont aidés dans notre tâche.
Outre l’accueil des bénéficiaires, menez-vous des activités parallèles?
Bien évidemment, notre rôle ne se limite pas seulement à accueillir les bénéficiaires, nous procédons aussi à des campagnes de sensibilisation relative à la santé reproductive.










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