Autres articles
-
Driss El Yazami : La littérature de la migration marocaine est devenue plus féminine et s’écrit aujourd’hui dans toutes les langues du monde
-
Jihane El Bahhar : L’un des plus grands défis du cinéma marocain aujourd’hui est l’absence d’une véritable industrie des films de genre
-
George Arthur Forrest : Si le Maroc veut nourrir sa population, il doit développer une agriculture qui réponde à ses besoins
-
Jérôme Despey : A mon arrivée à la présidence du SIA, je voulais vraiment mettre un pays ami à l'honneur comme le Maroc
-
Pr Simon Jonas Ategbo : «Mutualiser les efforts des différentes sociétés africaines de pédiatrie»

Un peu plus de deux ans après l’ouverture de Dar El Oumouma, comment évaluez-vous l’apport de votre établissement ?
Mohamed Bouhda : Notre rôle est devenu incontournable pour l’assistance des femmes qui accouchent ou qui s’apprêtent à le faire. Avec notre ambulance, nous avons la possibilité de secourir les femmes et nous veillons à ce qu’elles accouchent dans des conditions normales. Pour l’instant, nous estimons avoir mené à bien notre mission.
Quel est le budget de votre établissement ?
L’établissement dispose d’un montant d’environ 200 000 DH. Un budget moyen, il faut le dire, étant donné toutes les responsabilités qui nous incombent. Il va sans dire que les services offerts par Dar El Oumouma sont gratuits. Certes, nous imposons une cotisation pour l’usage de l’ambulance (250 DH), mais cela reste insuffisant, car ce montant couvre uniquement les charges du véhicule. A ce propos, je tiens à remercier les autorités locales qui nous ont aidés dans notre tâche.
Outre l’accueil des bénéficiaires, menez-vous des activités parallèles?
Bien évidemment, notre rôle ne se limite pas seulement à accueillir les bénéficiaires, nous procédons aussi à des campagnes de sensibilisation relative à la santé reproductive.
Mohamed Bouhda : Notre rôle est devenu incontournable pour l’assistance des femmes qui accouchent ou qui s’apprêtent à le faire. Avec notre ambulance, nous avons la possibilité de secourir les femmes et nous veillons à ce qu’elles accouchent dans des conditions normales. Pour l’instant, nous estimons avoir mené à bien notre mission.
Quel est le budget de votre établissement ?
L’établissement dispose d’un montant d’environ 200 000 DH. Un budget moyen, il faut le dire, étant donné toutes les responsabilités qui nous incombent. Il va sans dire que les services offerts par Dar El Oumouma sont gratuits. Certes, nous imposons une cotisation pour l’usage de l’ambulance (250 DH), mais cela reste insuffisant, car ce montant couvre uniquement les charges du véhicule. A ce propos, je tiens à remercier les autorités locales qui nous ont aidés dans notre tâche.
Outre l’accueil des bénéficiaires, menez-vous des activités parallèles?
Bien évidemment, notre rôle ne se limite pas seulement à accueillir les bénéficiaires, nous procédons aussi à des campagnes de sensibilisation relative à la santé reproductive.