Autres articles
-
Dans les villages du Bangladesh, le retour de la grande peur des serpents
-
Santé cardiovasculaire : Les bienfaits des produits végétaux dépendent de leur niveau de transformation
-
Lien entre les investissements dans les soins de santé pédiatriques et la prospérité
-
Plébiscité par les grandes maisons de luxe, le cuir "Made in Nigeria" se trace un avenir local
-
Une "planète vagabonde" engloutit gaz et poussières à un rythme effréné
Étudier les taches du pelage des jaguars pour différencier les individus : c'est par cette méthode, et à partir de 975 images prises par des pièges photographiques disséminés dans la jungle, que les biologistes de la Wildlife Conservation Society (WCS) ont déjà pu identifier 19 de ces félins, dans une partie de l'immense Parc National de Madidi, à la frontière bolivo-péruvienne.
Ce nombre, supérieur aux attentes des naturalistes, confirme à leurs yeux l'efficacité de cette méthode d'étude et de dénombrement : des appareils photos numériques, judicieusement placés le long des sentiers naturels et des cours d'eau, et se déclenchant automatiquement lorsqu'un animal passe devant une cellule infrarouge. Un dispositif particulièrement utile pour des espèces difficiles à repérer telles que les jaguars. De plus, outre ce grand félin, les chercheurs ont obtenu des images de nombreuses espèces, telles que les pécaris à lèvres blanches, les loutres géantes et les singes-araignées.
"Nous sommes enthousiasmés à l'idée d'utiliser ces photos pour en savoir plus sur ce félin insaisissable et sur ses besoins écologiques. Les données tirées de ces images donnent un aperçu de la vie des jaguars au niveau individuel, et nous aideront à produire une estimation de leur densité sur la zone", a déclaré le Dr Robert Wallace, du WCS.
Ce nombre, supérieur aux attentes des naturalistes, confirme à leurs yeux l'efficacité de cette méthode d'étude et de dénombrement : des appareils photos numériques, judicieusement placés le long des sentiers naturels et des cours d'eau, et se déclenchant automatiquement lorsqu'un animal passe devant une cellule infrarouge. Un dispositif particulièrement utile pour des espèces difficiles à repérer telles que les jaguars. De plus, outre ce grand félin, les chercheurs ont obtenu des images de nombreuses espèces, telles que les pécaris à lèvres blanches, les loutres géantes et les singes-araignées.
"Nous sommes enthousiasmés à l'idée d'utiliser ces photos pour en savoir plus sur ce félin insaisissable et sur ses besoins écologiques. Les données tirées de ces images donnent un aperçu de la vie des jaguars au niveau individuel, et nous aideront à produire une estimation de leur densité sur la zone", a déclaré le Dr Robert Wallace, du WCS.